À 76 ans, Bolo Yeung révèle enfin la vérité sur la mort de Bruce Lee

 

Mesdames, messieurs, en 2022, à l’âge de 76 ans, un vieil homme à la silhouette encore impressionnante brise soudainement le silence. Devant une caméra chinoise, il prononce ses mots. Bruce Lee ne craignait personne. Il combattait quiconque le défiait, même sur le tournage. Ce vieil homme, c’est Bolo Jung.

 Pendant 50 ans, il avait refusé de s’exprimer sur la mort de son ami mythique. Et puis, sans prévenir, il révèle tout. Les entraînements jusqu’au sang, l’obsession maladif de Brousse pour la perfection et cette amitié fraternelle bâtie dans la sueur et le silence. Les fans sont stupéfaits. Jusqu’alors, Bolo n’était qu’un monstre de kung fu cantonné à des rôles de méchants.

 Mais cette confession change tout. Derrière les muscles, il y avait un témoin, un frère d’armes, un survivant et désormais une vérité que personne n’osait nommer. Né6 à Canton en Chine, Yang, plus connu sous le nom de Boloung, grandit dans une famille pauvre où la discipline se transmet sans mots. Très jeune, il se passionne pour les arts martiaux traditionnels.

 À l’âge de 10 ans, il débute son apprentissage sous la direction de maîtres locaux. Mais ce sont moins les coûts que la volonté qui le forme. À 16 ans, dans un acte de courage insensé, il traverse le fleuve pour rejoindre Hong Kong à la nage. Un périple risqué qu’il appellera plus tard la traversée de la vie ou de la mort. Ce passage clandestin marque le début d’une nouvelle existence.

 À Hong Kong, il impressionne rapidement par sa musculature exceptionnelle. Il remporte plusieurs fois le titre de Mister Hong Kong dans les années 60 et 70 devenant une icône du culturisme asiatique. C’est cette stature Tornme qui attire l’attention des studios Show Brothers, les géants du cinéma Hongkongis. On lui propose des rôles secondaires, souvent sans parole, incarnant des gardes du corps ou des adversaires imposants.

 Mais Bolo ne se contente pas d’être une silhouette. Il observe, apprend et attend son heure. Cette heure arrive en 1971 lorsqu’il est choisi pour tourner une publicité pour la marque Winston. L’autre acteur du spot, Bruce Lee. Entre les deux hommes, une alchimie médiate. Bruce, fasciné par la carrure et la rigueur de Boloto.

 Bolo admiratif de la vitesse et de la précision de Bruce. C’est le début d’une amitié singulière construite loin des projecteurs, dans les salles d’entraînement et les heures de transpiration. Deux ans plus tard, Bruce Lee l’invite à jouer le rôle de Bolo dans Hunter de Dragon. Le film sorti en 1973 propulse le jeune culturiste au rang de star international.

 Son personnage brutal et silencieux marque les esprits au point que le surnom Bolo devient son identité officielle. Ce rôle devient un piège et une bénédiction. Il ouvre les portes d’Hollywood tout en l’enfermant dans l’image du méchant asiatique. Mais pour Bolo, la gloire importe peu. Ce qui compte, c’est la loyauté.

 Et sa loyauté envers Brousse est totale. Alors que la mort de L en 1973 soulève des rumeurs et des théories, lui choisit le silence. Pendant des décennies, il refuse les interviews, décline les propositions de livres, fuit les journalistes. Ce mutisme, loin d’être une stratégie, est un deuil personnel car il n’a jamais vu Bruce comme un légende, mais comme un frère, un frère tombé trop tôt.

 Dans les années qui suivent, Bolo continue sa carrière. Il tourne plus de 100 films, notamment au côté de Jean-Claude Vam dans Bloodsport et Double Impact. Il devient une référence dans le cinéma d’action, une figure familière pour plusieurs générations, mais toujours dans l’ombre. Il n’a jamais chercher les tapis rouges ni les honneurs.

 Il vit simplement, s’entraîne chaque jour, adopte un régime partiellement végétarien, évite l’alcool et la cigarette. Loin du bruit, il reste fidèle à lui-même. Derrière ses roules d’hommes brutal et impitoyable se cachait un homme d’une réserve presque religieuse. Pendant près de 50 ans, Bolo Yung n’a jamais parlé de Bruce Lee en profondeur.

 Une seule confidence, puis le silence. Les médias spéculaient : brouille secrète, rivalité masquée, trahison. Tout était imaginable, surtout dans un univers où le mythe de Bruce Lee frôle le sacré. Bolo lui se tenait à l’écart. Il refusa même de participer au documentaires officiel consacré à Bro. Et quand des journalistes insistaient, ils répondaient simplement : “Ce que nous avons vécu ne regarde que nous.

” Mais en 2022, le mur se fissure. Un média chinois spécialisé dans les arts martiaux parvient à obtenir une interview exclusive. Bolo à 76 ans accepte enfin de parler. Ce n’est pas un livre, ce n’est pas un plateau télé, c’est une conversation intime filmée simplement sans mise en scène et ce qu’il dit bouleverse tout.

 Il commence par un rire discret. Les gens pensent que Bruce’était un acteur, mais sur le tournage, il était aussi un guerrier. Ceux qui venaient tester sa légende reparta en boîant. Il décrit ensuite la brutalité des entraînements, la sueur, le sang, les eaux meurtrises. Nous répétions une scène jusqu’à la perfection.

 S’il fallait 100 fois, on le faisait 100 fois. Mais la révélation la plus poignante concerne la solitude de Bruce. Il avait tout, la gloire, l’argent, le talent, mais il n’avait personne à qui confier sa fatigue. Il raconte des soirs silencieux où Bruce restait assis, le regard vide, incapable de dormir. Il cherchait à créer quelque chose de trop grand, un nouveau kungfu, une nouvelle philosophie.

 Ça l’a consumait. Ces mots prononcés sans artifice frappent droite au cœur. Bolo évoque aussi les derniers jours de Bruce, son épuisement, ses douleurs physiques, ses doutes. Il ne voulait pas ralentir. Il avait peur que s’il s’arrêtait un jour, tout s’écroulerait. C’est là que le témoignage prend un tour plus sombre.

Selon Bolo, la mort de Bruce Lee n’a rien à voir avec les théories sensationnalistes sur les médicaments ou l’entraînement excessif. Ce n’est pas son corps qui a lâché, c’est le poids qu’il portait. La presse s’empare immédiatement de l’interview. Elle est traduite en plusieurs langues. Les magazines spécialisés titrent “Bolo brise le silence”. Le dernier témoin parle enfin.

Des extraits tournant en boucle sur YouTube. Des fans pleurent, des critiques s’interrogent. Pourquoi maintenant ? Pourquoi avoir attendu si longtemps ? Certains y voi un manœuvre médiatique tardif, d’autres un geste d’amour et de loyauté. Mais une chose est sûre, cette interview redéfinit le regard porté sur Bruce Lee et sur Boloung.

 Car à travers ce témoignage, ce n’est pas un acteur secondaire qui parle, c’est un frère de combat, un confident, un témoin de l’abîme. Et au deux tour d’une phrase, Bolo laisse échapper ce qui ressemble à un aveu. J’ai toujours pensé que j’aurais dû être là ce jour-là. Peut-être que je l’aurais empêché de partir. Ce twist, cette confession de culpabilité bouleverse les spectateurs.

 Il transforme un simple récit en tragédie humaine. Après cette révélation bouleversante en 2022, les médias tentent de relancer Bolo Young. Tous veulent une suite, une seconde interview, une réaction. Mais l’ancien culturiste retourne immédiatement à son silence. Pas de commentaire, pas de communiqué.

 comme si ce qu’il avait dit ce jour-là était tout ce qu’il acceptait de livrer. Pourtant, l’onde de choc continue de se propager à Hong Kong, en Chine continentale, aux États-Unis, chaque mot prononcé dans cette vidéo est analysé, repris, confronté aux archives. Des journalistes occidentaux, notamment du Martial Arts History Museum et de Kong Fu Kingdom, se penchent sur les déclarations de Bolo.

 Certains contestent, d’autres confirment. Une enquête est même menée par SCMP pour retracer les derniers jours de Bruce Lee à travers les témoignages d’autres proches. Mais personne ne contredit réellement Bolo car tous savent qu’il faisait partie du cercle restreint. L’un des rares à avoir vu Bruce s’entraîner, saigner, tomber puis se relever.

 Dans les semaines suivantes, plusieurs sites chéois publient des articles remettant en doute l’amitié entre les deux hommes. Des rumeurs anciennes ressurgissent. Bruce aurait été agacé par le manque de technique de Bolot. Bolo aurait été jaloux de la célébrité de Bruce. Mais chaque fois, les vidéos d’archives contredisent ses allégations.

 On les voit rire ensemble, se saluer avec chaleur, se regarder avec respect. En parallèle, une vidéo refait surface. Tournée en 1973, elle montre une répétition entre Bruce et Bolo sur le tournage de Hunter de Dragon. Aucun mot, juste des gestes précis, rapides, puissants. À la fin, Bruce applaudit Bolo, un sourire franc sur le visage.

Cette image diffusée sur les réseaux devient virale. Elle fait ter bien des critiques. Malgré tout, Bolo reste discret. Il vit dans une maison modeste en Chine, continue de s’entraîner chaque matin, refuse les interviews, les salons, les conventions. Sa seule activité publique enseignée à quelques jeunes élèves sélectionnés loin des caméras.

 “Le confou ne se montre pas, il se vit”, aurait-il dit un journaliste venu sans rendez-vous. Son fils David Young prend la parole à sa place. Dans un rare message vidéo, il affirme “Mon père n’a jamais voulu être une star. Il voulait juste honorer la mémoire de son ami. Cette déclaration apaise les fans, mais la presse, elle ne relâche pas la pression.

 En 2023, un documentaire Netflix sur Bruce Lee inclut enfin un extrait de l’interview de Bolo. C’est la première fois qu’il apparaît dans une production occidentale majeure depuis des décennies et ce n’est pas sans tension. En effet, selon certaines sources, Bolo n’aurait jamais autorisé l’utilisation de ses propos. Une polémique s’enclenche.

 Netflix, par l’intermédiaire d’un porte-parole, affirme avoir obtenu l’autorisation des ayants droits du média chinois initial. La famille Young, elle, reste silencieuse. Aucune plainte officielle n’est déposée. Mais une fois encore, Bolo se retire loin de l’agitation, fidèle à lui-même. Dans ce tumulte, une phrase revient prononcée par Bolot dans l’interview.

 Je n’ai jamais été un héros. Je suis juste un témoin. Cette humilité désarme. Elle renforce l’image d’un homme simple mais porteur d’une vérité que seul lui pouvait raconter. Et même dans l’ombre, sa parole raisonne car elle éclaire une légende par l’autre côté du miroir. C’était un matin d’été à Pékin en juillet 2022.

 L’interview venait à peine d’être diffusée la veille au soir et déjà les rues du quartier Dong Sheng bruissaient de murmure. Dans une petite salle d’entraînement au mur tapissé de photos anciennes, Bolo Jung s’apprêtait à ouvrir la séance quotidienne avec ses élèves. Il portait un simple t-shirt noir et un pantalon de coton souple.

 Aucun signe extérieur ne trahissait l’ouragan médiatique qu’il venait de déclencher. Un des jeunes élèves hésitant osa lui demander si fou pourquoi maintenant ? Bolo s’arrêta, le regarda sans colère. Il répondit simplement : “Parce qu’à mon âge, je n’ai plus peur de la vérité.” Puis il reprit l’échauffement comme si de rien n’était.

Ce moment de calme précède une avalanche. Ce jour-là, des caméraman se pressent devant la salle. Des drones survolent le bâtiment, des fans laissent des fleurs, des lettres, des dessins. L’un d’eux brandit une pancarte sur laquelle on peut lire “Merci d’avoir parlé pour lui”. Bolo, impassible, refuse tout interview.

 Il quitte la salle par une sortie latérale, monte dans une voiture discrète et rentre chez lui. Dans l’intimité de sa maison, une journaliste chinoise proche de la famille raconte avoir assisté à une scène inhabituelle. Bolot seul regardant de vieilles vidéos de Bruce Lee le visage marqué. Lorsqu’elle lui demanda s’il regrettait d’avoir parlé, il répondit : “Je ne regrette que le silence.

” Le lendemain, un ami de longue date, maître en Taichi, rend visite à Bolo. Ils s’entretiennent longuement dans le jardin à l’abri des regards. À la fin de la conversation, selon des témoins, Bolo aurait dit : “Le kungfu ce n’est pas le combat. C’est ce qu’on choisit de ne pas dire.” Une déclaration presque philosophique qui conclut ce chapitre inattendu de sa vie.

Le surlendemain, Bolo n’apparaît pas à l’entraînement, une première depuis des années. Un de ses élèves l’appelle, pas de réponse. Unquel il se rend à son domicile. À travers la fenêtre, il le voit assis, méditant les yeux fermés, immobiles. Il n’ose pas frapper. Il comprend que son maître est encore vivant, mais qu’il est ailleurs, perdu dans ses souvenirs.

Dans les jours qui suivent, Bollo réapparaît brièvement à l’entrée d’un temple taoïste où il dépose un petit Encent pour Bruce Lee. Aucune parole, aucune caméra, un geste, juste un geste. Puis il disparaît de nouveau. Aujourd’hui, à 78 ans, Boloyong vit retiré du tumulte dans une maison modeste en Chine, loin des plateaux de tournage et de la frénésie médiatique.

Il n’a jamais cherché la gloire. Son nom restera pourtant gravé dans l’histoire du cinéma d’action. Mais au-delà des points, ce qu’il nous a légué, c’est une leçon d’humanité. Son témoignage sur Bruce Lee a raisonné comme un adieu, pas à une époque ni à un mythe, mais à une douleur longtemps gardée.

 Cette parole tardive, emprunte de pudeur et d’affection, a redonné chair à une amitié que beaucoup croyaient oublier. Aujourd’hui encore, dans les forums de passionnés, dans les salles d’arts martiaux, les jeunes répètent ces phrases comme des mantras. Le monstre du kung fu est devenu un sage silencieux. Mesdames, messieurs, parfois ce ne sont pas les héros qui crient le plus fort, mais ceux qui dans l’ombre portent la mémoire des autres.