💥👩‍🍼 À 45 ans, Caroline Ithurbide choque la France en direct : enceinte d’une fille, elle promet de tout abandonner pour ce nouveau rôle bouleversant !

💥👩‍🍼 À 45 ans, Caroline Ithurbide choque la France en direct : enceinte d’une fille, elle promet de tout abandonner pour ce nouveau rôle bouleversant !

Hier soir, sur les ondes de Europe 1, un événement inattendu a électrisé le plateau de l’émission « Pascal Praud et vous » : Caroline Ithurbide, figure bien connue du PAF, a brusquement interrompu le fil de la discussion pour faire une confession publique bouleversante : « Je dois dire devant la France entière que j’attends un bébé ! »

À 45 ans, mère déjà de Gaspard Ruben et Ambre Lilah, elle a choisi ce moment très exposé pour annoncer qu’elle attend une petite fille, fruit de son amour avec l’acteur Polo Anid.  Le ton était à l’émotion, à la fierté — et à la surprise générale.

I. Le choc de l’annonce en direct : “Je peux pleurer à tout moment”

Tout commence par une confidence presque casuelle, leitmotiv habituel d’une émission radiophonique : mais soudain, Ithurbide prend la main et renverse la table. Elle se lève — ou presque — et déclare devant les micros et les auditeurs : « J’attends un bébé ! » Immédiatement, le plateau retient son souffle.

Elle révèle qu’elle avait jusqu’ici vécu dans la discrétion la plus totale : « Vous n’avez rien vu, que du feu », dit-elle à ses confrères. La formule est presque théâtrale — la confidence devient spectacle. L’animateur Pascal Praud ne peut que la laisser dévoiler progressivement les détails : le sexe du bébé, le projet de prénom, les enjeux.

Et ce n’est pas tout : elle assume pleinement le timing — à un âge souvent jugé “tardif” pour une grossesse — et le fait que cette annonce se fasse « en pleine lumière », devant toute la France.

II. Une maternité tardive : défi, courage… et critiques possibles

L’une des dimensions les plus fortes de cette nouvelle réside justement dans le défi que pose une troisième grossesse à 45 ans. Dans les médias, Caroline ne cache pas que ce n’est pas simple. Pascal Praud lui-même le souligne : « Ce n’est pas simple d’avoir un petit enfant à 45 ans ».

Mais Ithurbide affiche une détermination rare. Elle invite même les critiques : « Allez-y, mettez les pieds dans le plat, je m’en fiche. Vous voulez parler de mon âge ? » Elle évoque aussi la répartition mentale du “poids” de la grossesse : « Je vais tenter de mettre toute la charge mentale sur le père… »  Une phrase qui révèle le combat intérieur, la volonté d’égalité… et le poids mental encore trop souvent imposé aux femmes.

Ce nouveau chapitre dans sa vie arrive alors que ses deux enfants aînés sont adolescents — l’écart d’âge s’annonce conséquent. Et le public se demande : pourra-t-elle, après des années de carrière médiatique intense, assumer cette nouvelle mission ?

III. Le rôle de Polo Anid : soutien ou rempart ?

La paternité, dans cette histoire, joue un rôle autant symbolique que concret. Polo Anid, acteur à la carrière modeste mais stable, est présenté comme le compagnon choisi pour cette nouvelle aventure.

Lors de l’annonce, Caroline confie que leurs désaccords quant au prénom sont déjà bien présents : « Ça coince un peu avec le papa. On n’est pas forcément d’accord. Je vais devoir batailler. » Une vraie “guerre de prénoms” qui humanise ce qui pourrait paraître trop parfait. Derrière l’annonce triomphale, affleure la réalité du couple.

Le fait qu’elle évoque la “charge mentale” qu’elle souhaite déléguer au père donne un indice : elle ne semble pas vouloir porter seule ce nouveau projet familial. Et cela pourrait devenir une porte ouverte à débats publics — sur la paternité, la responsabilité, l’égalité, dans un contexte où les attentes envers les femmes restent pesantes.

IV. Stratégie de communication ou sincérité totale ?

Derrière le ton dramatique de l’annonce, certains médias s’interrogent : est-ce une stratégie de com’ ? Une manœuvre pour faire le buzz ? Ou juste un besoin vital de vérité ?

Mais les mots de Caroline paraissent trop viscéraux pour n’être que stratégiques. Elle parle de larmes possibles, de cœur qui bat, de secret long tenu — et de surprise. Elle parle aussi de maternité comme d’une conquête, non d’un choix banal.

Le choix du direct — cette émission très écoutée, médiatisée — donne à l’événement une ampleur que peu d’annonces privées auraient eue. Elle assume la lumière, mais aussi les jugements.

V. Enjeux sociétaux : âge de la maternité, image de la femme, médias

Cette annonce ne concerne pas seulement Caroline. Elle réveille des débats bien plus vastes :

VI. Vers une grossesse sous les projecteurs

À ce jour, Caroline n’a pas dévoilé le prénom choisi — elle préfère garder ce mystère, tout en précisant que le choix aura une consonance méditerranéenne. +1 Ce petit détail nourrit déjà les spéculations.

Les mois à venir seront scrutés : suivront les échographies, les annonces de trimestres, les apparitions publiques. Le public (et surtout les médias) attendront chaque mot, chaque image.

Mais ce qui frappe dès maintenant, c’est l’audace d’une femme qui, alors qu’on pourrait lui conseiller le silence ou la discrétion, dit — devant des centaines de milliers d’auditeurs — qu’elle entre dans une nouvelle vie.

Conclusion

Cette annonce de grossesse en direct est plus qu’un simple “carnet rose” : c’est un acte de bravoure, une prise de parole forte, un miroir tendu à la société. Caroline Ithurbide ne demande pas seulement un accueil chaleureux, elle impose la conversation — sur l’âge, la maternité, la féminité, la charge mentale, le rôle des hommes.

Et dans ce huis clos radiophonique, elle s’ouvre à un avenir qu’elle dictera avec panache. Dès maintenant, beaucoup se demandent : comment cette grossesse va-t-elle se dérouler ? Comment Frances réagira-t-elle ? Quelle petite fille va naître, sous les yeux de tous ? Le spectacle ne fait que commencer.