Mesdames, messieurs, quelques jours avant sa mort, Dian Kitton a discrètement retiré de la vente sa maison de rêve à Los Angeles, une propriété qu’elle avait elle-même restaurée avec passion. Un geste silencieux, presque prémonitoire qui n’a éveillé l’attention qu’après l’annonce brutale de son décès. À 79 ans, l’icône d’Hollywood s’est éteinte le 11 octobre 2025 dans une clinique californienne loin des projecteurs.
La presse prise de cours n’a été informée qu’après le transfert de son corps à l’hôpital par les secours à 8h8 du matin. Aucun dernier mot public, aucune interview finale, juste un silence pesant. Pourtant, quelques semaines auparavant, des proches l’avaient trouvéigri, affaibli, presque méconnaissable. Elle qui avait incarné la femme libre, indomptable, inclassable est partie sans scène finale.
Et c’est ce paradoxe entre sa lumière publique et l’ombre de sa disparition que nous allons explorer ensemble. Diane Kitton. De son vrai nom, Dian Cole, voit le jour le 5 janvier 1946 à Los Angeles au cœur d’une Amérique conservatrice d’après-gerre. Fille d’un ingénieur devenu agent immobilier et d’une mère au foyer passionnée de photographie, elle grandit dans une famille de classe moyenne où l’image de la femme reste enfermée dans les cuisines.
Très jeune, elle rejette ce modèle. Inspiré par sa mère Dorothy, figure à la fois effacée et secrètement ambitieuse, elle choisit de porter le nom de jeune fille de celle-ci, Kitton. Ce changement, loin d’être anodin, marque le début d’une quête d’indépendance. Elle étudie le théâtre au Santa Anna College avant de poursuivre Neighborhood Playohouse de New York où elle se forme au sein d’une école rigoureuse et exigeante.
Sa première apparition sur scène remonte à 1968 dans la comédie musicale révolutionnaire Air à Broadway. Mais c’est grâce à une autre pièce Play it Again Sam écrite par Woody Allen qu’elle retient l’attention du public et des producteurs. Cette rencontre marque un tournant. Non seulement elle deviendra sa muse à l’écran, mais aussi l’une des figures emblématiques du cinéma américain des années 1970.
Sa carrière au cinéma débute réellement en 1970 avec Lovers and Other Strangers, mais c’est son rôle inoubliable de Ke Adams dans The Godfather 1972 de Francis Ford de Copola qui la propulse au rang d’actrice incontournable. Dans un univers masculin, elle incarne la compagne du futur parrain avec une retenue glaçante et une vulnérabilité poignante.
Ce rôle qu’elle reprendra dans les deux volets suivants de la trilogie montre déjà l’ambiguité émotionnelle qui deviendra sa signature. Mais le sommet arrive en 1977 avec Annie H réalisé par Woody Allen. Le film largement inspiré de leur propre relation offre à Dian Kitton l’opportunité de briller à tous les niveaux. Jeu naturel, humour décapant.
Vulnérabilité sincère. Elle reçoit l’Oscar de la meilleure actrice pour cette performance. Le style vestimentaire excentrique du personnage, Chapeau, pantalon large et cravat devient une tendance mondiale transformant Dian Kitton en icône de mode malgré elle. Tout au long des années 80 et 90, elle multiplie les rôles forts, souvent dans des comédies dramatiques où elle explore les fragilités humaines.
Baby Boom, 1987, Father of the Bride 1991 ou encore Marvin’s Room 1996. Elle cessait aussi à la réalisation avec Unstrang Heroes et Hanging Up 2000, prouvant qu’elle pouvait diriger avec autant de finesse qu’elle pouvait jouer. Parallèlement à sa carrière d’actrice, Dian Kitton se passionne pour l’architecture et la rénovation de maisons anciennes.
Elle achète, restaure et revend des propriétés avec un sens aigu du détail et un amour sincère pour la pierre et les lignes épurées. Cette activité bien que discrète l’occupera tout au long de sa vie et sera l’objet de plusieurs articles dans la presse spécialisée. Merci Dilette par choix. Elle adopte sa fil Dexter en 1996 puis son fils Duke en 2001.
À contre-courant des conventions hollywoodiennes, elle élève ses enfants loin du tumulte médiatique, fidèle à son image de femme libre, parfois distante mais profondément investie. Actrice, réalisatrice, icône de mode involontaire, maire, architecte, amateur, Dian Kitton n’a jamais voulu rentrer dans une case.
Sa vie entière est marquée par une indépendance féroce, un refus d’énorme et une élégance discrète qui continue d’inspirer, même après son départ. Derrière l’allure décontractée et le sourire espiègle de Dean Kitton se cache un parcours ponctué de blessures silencieuses, de désillusion amoureuse et de ruptures douloureuses.
Si elle a su préserver une image publique plutôt sage, la vérité est plus complexe. Dian Kitton a traversé plusieurs tempêtes souvent dans l’ombre, parfois sous les projecteurs. Sa relation avec Woody Allen fut l’une des plus longues et les plus ambigues de sa vie. Entre complicité artistique et attachement sentimental, leur duo a marqué toute une époque du cinéma indépendant américain.
Pourtant, leur liaison fut brève. C’est après leur séparation qu’ils construisent ensemble leur plus grand chef-dœuvre. Cette proximité continue, malgré la rupture, alimente de nombreuses rumeurs. Dian Kitton a toujours pris la défense de Woody Allen, même lorsque ce dernier s’est retrouvé au cœur d’accusation grave. En 2018, alors que d’autres stars prenaient leur distance, elle déclarait dans une interview à People : “Je crois en Woody, je l’aime, c’est mon ami depuis toujours.
” Une position qui a suscité critique et incompréhension, surtout à l’air du mouvement Mou. Certains y ont vu un aveuglement, d’autres une loyauté indéfectible. Le débat reste ouvert. Un autre pan de sagie privée fascine et interroge sa longue relation avec Alpino. Ils se sont rencontrés sur le tournage de The Godfather et leur complicité, d’abord professionnelle devient sentimentale.
Leur histoire s’étale sur près de deux décennies entre rupture et retrouvailles. Lane a souvent évoqué cette relation dans ses interviews, la décrivant comme intense, passionnelle mais aussi frustrante. Il ne voulait pas s’engager et moi je voulais plus, confit-elle dans une interview accordée à The Telegraph.
La rupture finale survient au début des années 1990. Peu de temps après, son père John Hall meurt d’un cancer. Dans ses mémoires then again, elle confesse avoir été bouleversée par cette double perte. Une blessure profonde qu’elle mettra des années à surmonter. Au-delà de ses amours contrariés, Dian Kitton a également dû affronter des épreuves liées à son apparence et à la perception du vieillissement à Hollywood.
Très tôt, elle refuse les chirurgies esthétiques, assumant ses rides et son âge avec une dignité rare. Cette décision courageuse lui vaut admiration. mais aussi mise à l’écart. Dans une industrie obsédée par la jeunesse, elle accepte de moins en moins de rôles après ses soix ans. Elle continue toutefois à tourner mais dans des films souvent plus confidentiels.
Elle devient, malgré elle, un symbole de résistance à la standardisation des visages féminins à l’écran. Son rapport à la maternité tardif soulève aussi des critiques. Adopter deux enfants après 40 ans n’est pas courant à Hollywood. Certains l’accusent d’avoir voulu combler un vide affectif. Elle répond avec la simplicité qui la caractérise.
J’ai attendu d’être prête. Ce n’était pas un caprice. En réalité, Dian Kitton élèvera ses enfants avec un profond sens du devoir, loin du tumulte médiatique. Côté santé, elle révèle dans plusieurs interviews avoir souffert d’un cancer de peau diagnostiqué dans les années 1990. Elle le combat discrètement sans en faire un sujet médiatique.
Ce combat silencieux sera l’un des rares moments où elle laisse entrevoir une vulnérabilité physique. Elle qui pendant des décennies a cultivé l’image d’une femme énergique, sportive, infatigable. Un autre épisode trouble émerge en 2023 lorsqu’un tabloïde américain évoque une prétendue perte de mémoire précoce.
Diane Demment publiquement mais n’accorde plus d’interview pendant de non mois. Certains y voi un signe avant-coureur du déclin à venir. Son absence aux cérémonies, ses silences sur les réseaux sociaux, son retrait progressif sont analysés par la presse comme les manifestations d’un repli volontaire. Un proche affirme alors dans Vanitif, elle ne voulait pas qu’on la voit diminuer.
Elle voulait que le public garde d’elle l’image d’une femme forte. Puis au tournant de 2025, un dernier twist vient bouleverser cette discrétion orchestrée. La maison qu’elle restaurait depuis des années, présentée comme son sanctuaire, est soudain mise en vente. Quelques jours plus tard, sans explication, l’annonce est retirée.
Pour ceux qui la connaissent, ce geste raisonne comme un adieu secret. Diane Kitton, qui avait toujours fui les conventions, semble avoir aussi orchestré son effacement. Une dernière mise en scène peut-être. ou simplement la décision d’une femme libre jusqu’au bout. Dans les dernières années de sa vie, Diane Kitten avait progressivement disparu de la sphère publique.
Si certains y voyaient une forme de retraite paisible, les proches savaient que ce retrait dissimulait une fragilité croissante. Elle vivait alors dans l’un de ses projets préférés. Une demeure rénovée selon ses goûts au cœur de Los Angeles, un avre de paix aux lignes épurées, baigné de lumière, entouré d’oliviers. C’était là, dans cette maison qu’elle considérait comme le miroir de son âme, qu’elle avait choisi de s’isoler.
À partir de 2023, ses apparitions se font rares. Elle décline les interviews, refuse les invitations aux cérémonies et cesse presque totalement toute activité publique. Sur Instagram, autrefois animé par ses projets artistiques et ses rénovations de maison, le silence s’installe.
Une dernière photo postée en février 2025 montre un ciel nuageux vu depuis sa fenêtre. Aucun commentaire, juste un instant suspendu. Selon plusieurs sources relayées par Architectural Digest, Danian Kitton souffrait de problèmes de santé récurrents liés à son système immunitaire affaibli et à des séquelles de son ancien cancer de la peau.
Elle suivait un traitement léger alternant soins médicaux et médecines alternatives. Mais ce n’est qu’au printemps 2025 que les signaux d’alarme deviennent évidents. Perte de poids visible, fatigue chronique, absence prolongée. Ses enfants, Dexter et Duke la visitent plus souvent. Une amie proche citée anonymement dans The Hollywood Reporter confie.
Elle ne voulait pas faire de vague. Elle refusait qu’on parle de sa santé. Elle disait juste “Je suis fatigué”. Au même moment, un événement discret intrigue. Dian Kitton met en vente sa maison emblématique, celle qu’elle avait longuement transformée et décoré, celle qui avait été couverte par les magazines de design.
L’annonce est publiée, suscite un écho modéré puis disparaît après quelques jours. Aucun communiqué, aucune précision. Certains fans inquiet échangent sur les forums. Pourquoi vendrait-elle cette maison ? Elle a toujours appelé son refuge. Le cercle des intimes se resserre. Elle ne répond plus aux journalistes, n’assiste pas aux obsèques d’anciennes collègues, ne participe à aucune des rétrospectives organisées en son honneur.
En juillet 2025, un article de Vanity Fair fait brièvement mention de son état préoccupant sans autre détail. La formation est vite éclipsée par d’autres actualités comme si Hollywood ne voulait pas voir l’une de ses icônes s’éteindre lentement. Dans une de ces dernières apparitions filmées remontant à 2022, Dian Kitton déclarait lors d’une interview : “Vieir n’est pas difficile, c’est disparaître qu’il l’est”.
Ces mots, alors perçus comme une réflexion poétique, prennent d’aujourd’hui une toute autre résonance. Elle s’était préparée à sa manière à cet effacement. Aucun adieu officiel, aucune déclaration dramatique. Juste une femme retirée dans sa maison entourée de souvenirs, de livres, de photos de famille et d’objets chinés avec une discrétion rare à Hollywood.
Là où tant de stars vieillissent sous les flashes, elle avait choisi le silence. Là où d’autres préparent leur mémoire ou orchestrent leur légende, elle s’étaient simplement tue. Ces enfants, très discrets dans la presse, n’ont jamais évoqué l’état de leur mère, respectant une pudeur que Diane elle-même avait imposé tout au long de sa carrière.
À l’approche de l’automne 2025, certains voisins disent ne plus l’avoir vu depuis plusieurs semaines. La lumière restait allumée tard dans la nuit, mais aucune silhouette ne se profilait aux fenêtres. Et pourtant, personne n’imaginait que la fin était si proche. Comme un rôle qu’elle aurait joué en secret, Dian Kitton vivait sa dernière scène sans script, sans public, dans un décor qu’elle avait elle-même choisie.
Le matin du 11 octobre 2025, à 8h08 précise, une alerte est enregistrée par les services d’urgence de Los Angeles. L’appel provient de la résidence privée de Dian Kitton, niché dans un quartier calme de Pacifique Palace. Lorsqu’ils arrivent sur place, les secouristes découvrent une maison silencieuse, ordonnée, baignée par la lumière dorée d’un matin d’automne.
L’icône du cinéma américain est allongée, inconsciente dans une pièce qu’elle avait transformé en atelier de lecture et d’écriture. Une bibliothèque encadre la pièce, des livres empilés sur une table basse, un carnet ouvert à ses côtés. La comédienne est transportée d’urgence à l’hôpital Sédar Sinai, un établissement qu’elle connaissait bien y ayant accompagné plusieurs amis au fil des années.
À ce moment-là, rien ne filtre. Pas un mot dans la presse, aucune déclaration. L’information reste confinée aux proches et à l’équipe médicale. Les médecins tentent de la stabiliser, mais selon un membre du personnel hospitalier cité anonymement dans Varayetti, son état était déjà trop avancé pour envisager une intervention. Ce n’est qu’à 11h27, heure locale que son décès est officiellement constaté.
Le certificat médical n’est pas immédiatement rendu public. La cause exacte de la mort n’est pas précisée, mais plusieurs sources évoquent un effondrement soudain de son organisme affaibli. L’autopsie, si elle a été pratiquée, n’a pas été rendue publique. Les membres de sa famille refusent tout commentaire, se contentant d’un bref communiqué.
Diane Kitton s’est éteint paisiblement ce matin, entouré de respect et d’amour. Nous demandons à chacun de respecter sa mémoire avec discrétion. Aucun photographe n’est présent à l’hôpital. Aucun fan ne se rassemble. Pendant plusieurs heures, seule une poignée de journalistes américains est informé officieusement du décès.
Ce n’est que vers la fin de l’après-midi que la nouvelle commence à circuler sur les réseaux sociaux, alimenté par un message de la réalisatrice Nancy Mayers, amie et collaboratrice de longue date, qui écrit simplement “Le cœur brisé. Diane était lumière, force, grâce, elle nous manque déjà.” À ce moment-là, le monde découvre que Dian Kitton est parti sans adieux public, sans hommage en direct, sans une dernière interview ou un moment de reconnaissance.
Elle avait quitté la scène comme elle y était entrée, sans compromis. Quelques détails émergent ensuite. Elle aurait passé la soirée précédente seule à relire des extraits de Againen, son autobiographie. La veille, elle aurait passé un appel court à sa fille Dexter, simplement pour lui dire “Prends soin de toi.
” Rien n’indique qu’elle savait que la fin était proche. Et pourtant, son retrait, la mise en vente de sa maison, l’arrêt total des apparitions laisse entrevoir une conscience silencieuse de l’inéluctable. Le dernier rôle de Dian Kitton ne fut jamais filmé. Il se joie dans le secret d’une maison lumineuse au petit matin loin des projecteurs. Un départ discret, presque invisible, comme un souffle.
La disparition de Diane Kitton a laissé un vide que les hommages n’ont pu combler. Actrice oscarisée, icône de style, femme libre et inclassable, elle a incarné durant cinq décennies une autre idée de la féminité, celle de l’indépendance, du refus des carcans, du courage de vieillir sans masque. Elle laisse derrière elle deux enfants, Daxter et Duke, adopté par choix tardif qu’elle a toujours protégé de l’exposition publique.
Aucun testament n’a encore été rendu public, mais il est certain que ses biens, notamment ces propriétés immobilières de grande valeur, seront gérées par une fondation familiale discrète. Hollywood, souvent prompt à glorifier ses disparus, semblent pris de cours. Les hommages sont sobres, ému, presque timides. Ou Allen, dans un rare communiqué parle d’une étoile qu’on ne reverra jamais.
Beth Midler évoque une sœur de cœur, une guerrière du silence. Le public lui redécouvre ses rôles, ses interviews, ses phrases sans filtre et surtout son rire si singulier. Mais au fond, que reste-t-il d’une femme qui a tout fait pour ne jamais dépendre de personne ? Une maison vide, deux enfants silencieux et cette question murmurait par ceux qu’il l’admiraient.
Peut-on vraiment choisir de partir sans dire au revoir ?