À 20 ans, D4vd dévoile les cinq personnes qu’il ne pardonnera jamais…

 

Mesdames, messieurs, le 8 septembre 2025 à Los Angeles, une voiture Tesla stationnée dans un quartier résidentiel attire l’attention de voisin par une odeur insoutenable. Lorsqu’ils ouvrent le coffre avant, c’est le choc. Le corps sans vie d’une adolescente de 15 ans, dissimulzla depuis plusieurs jours. La plaque d’immatriculation mène à un nom inattendu.

 Décavid, jeune prodige de la scène musicale américaine, idole d’une génération sur TikTok. Comment un chanteur adulé au visage doux et timide a-t-il pu être mêlé à tel cauchemar ? À seulement 20 ans, Descad voit sa carrière suspendue, ses concerts annulés, ses comptes vidé toute trac de son passé. Et au cœur de ce mystère, un prénom revient comme un écho.

 Céleste, qui était-elle ? Que s’est-il vraiment passé ? Ce soir, chers téléspectateurs, nous allons remonter le fil d’une histoire où la musique laisse place au silence. Né le 28 mars 2005 dans le quartier de Queens à New York, David Anthony Burk, plus connu sous le nom de scène 4D VD, n’avait vint d’un enfant star programmé pour briller.

 Sa famille déménage tôt à Houston au Texas dans une banlieu paisible où il découvre très jeune les jeux vidéos, les mangas et la solitude des adolescents rêveurs. À l’écart des projecteurs, il trouve dans la création un refuge : montage vidéo, fan edit, puis rapidement la musique. C’est à travers le phénomène Fortnite qu’il fait ses premiers pas sur internet, postant des vidéos de gameplay sur YouTube et TikTok, mais c’est en accompagnant ses montages de musique fait maison qu’il se distingue.

 Avec une voix douce et mélancolique, il enregistre ses premiers titres dans un placard avec un micro d’amateur. Son univers minimaliste, mêlant douleur adolescente et amour fantasmé, capte immédiatement une audience grandissante. En 2022, tout bascule avec la chanson Romantic Homicide, un titre sombre, torturé, porté par des paroles ambigues et une esthétique épurée.

 La chanson devient virale sur TikTok, utilisée dans des millions de vidéos. Les mots “I’ scared of love again” deviennent un hymne générationnel. D4VD devient la voix fragile d’une jeunesse brisée, un rôle qu’il assume avec plus d’heur sans jamais vraiment parler à la presse. Quelques mois plus tard, c’est Here with me qui confirme l’engouement flirtant avec le top des charts américains et européens.

 Sa signature avec Interscope Records le propulse dans la Cour des grands. En quelques mois, il passe des chambres sombres de Houston aux scènes international. Des articles le présentent comme le nouveau franco-océon, le poète gothique de TikTok ou encore le mystère DVD. Pourtant, derrière l’image d’artiste introverti, peu savent réellement qui il est.

 Son premier album, Wither voit le jour le 25 avril 2025, très attendu. Il explore des thèmes sombres. l’abandon, la mort, la mémoire, l’obsession amoureuse. Certains fans notent des titres troublants comme Celestial Silence ou Fif Candle qu’il relie à une certaine céleste. Pseudonyme apparu à plusieurs reprises dans les commentaires ou dans les rumeurs de fans.

 Durant cette ascension, des 4VD conservent une rare discrétion. Très peu d’interview, pas de story privée, aucune apparition en soirée. Il est cet artiste que l’on ne voit que sur scène ou dans l’obscurité de ses clips. Son image est soigneusement construite, celle d’un jeune homme hypers sensible, écorché, qui transforme sa douleur en art.

 Mais c’est peut-être cette opacité qui rendra l’affaire à venir encore plus déroutante. Car le silence qui entoure sa vie privée va bientôt laisser place à une cacophonie médiatique incontrôlable. À mesure que le drame s’annonce, les fans, les médias et les curieux vont tenter de recomposer le puzzle d’un garçon devenu célèbre sans jamais avoir raconté sa propre histoire et si certaines réponses se trouvaient déjà dans ces chansons.

 Tout commence par une disparition. Début septembre 2025, une adolescente de 15 ans nommée céleste Rivas Hernandez ne rentre pas chez elle après une soirée entre amis à Los Angeles. Pendant plusieurs jours, sa famille publie des avis de recherche sur les réseaux sociaux sans réponse. La police tarde à se mobiliser jusqu’à ce que le 8 septembre, un signalement d’odeur suspecte dans une rue tranquille de LA mène à une macabre découverte.

 Le corps de céleste est retrouvé dans le coffre avant d’un véhicule Tesla Model S. L’immatriculation du véhicule révèle un nom qui fait immédiatement trembler l’industrie musicale David Burk alias D4 VAD. Le choc est immense. À 20 ans, l’artiste au visage d’Ange devient malgré lui le centre d’une enquête pour homicide.

 Les médias se déchaînent et très vite le nom de Céleste commence à raisonner étrangement familier pour une partie du public de D4 VAD. Car depuis plusieurs mois, des fans avaient remarqué des indices troublants dans ses publications, ses chansons et même ses tatouages. Sur son avant-bras, un mot : céleste.

 Une coïncidence ou un aveu à demi-mot. Une chanson de son album with the Red intitulé 15 bougies évoque une jeune lumière disparue trop tôt. D’autres titres parlent d’un amour interdit, d’une obsession étouffante, d’un lien toxique. Les internautes plongent dans ses paroles comme en fouille un journal intime.

 Certains affirment que D4 VAD et Céleste auraient été en couple que aucune photo d’eux ensemble n’ait jamais été rendue publique. D’autres pensent que Céleste aurait été mineur lors de leur prétendue relation, ce qui s’y confirmé rendrait le scandale encore plus explosif. Mais les rumeurs ne s’arrêtent pas là. Des captures d’écran commencent à circuler, montrant d’anciens tweets, des extraits de lives Instagram, des commentaires supprimés.

Des fans prétendent que D4 VAD aurait supprimé toutes les traces de Céleste peu de temps avant la découverte du corps. Certains vont jusqu’ suggérer qu’il aurait été prévenu, voire impliqué dans la disparition. Rien n’est prouvé mais le climat de suspicion devient insoutenable. Dans un article publié le 17 septembre, un média indépendant affirme que la relation entre D4 VADI céleste avait pris fin brutalement fin 2024 à la suite de disputes violentes sur les réseaux.

 Une publication anonyme évoque un secret inavouable, un pact brisé, une promesse non tenue. Sur Reddit et X ex Twitter, des comptes affirment détenir des messages privés, des audios, des témoignages. Certains sont immédiatement démentis, d’autres sont supprimés. Le doute, lui s’installe. Au même moment, la famille de Céleste garde un silence absolu.

Aucune déclaration publique, aucun commentaire au journalistes. Cette absence de parole alimente encore davantage les spéculations. Et pendant ce temps, D4 VAD se murent dans un silence glaçant. Son équipe annule ses apparitions prévues, désactive les commentaires sur ses comptes officiels. Le 19 septembre, il poste un unique message sur une story éphémère.

 Je coopère avec les autorités. Je n’ai rien à cacher. La vérité viendra. Le message disparaît en moins de 24 heures. Mais les internautes n’attendent pas la justice. Le procès médiatique a déjà commencé. On l’accuse de manipulation, de dissimulation, de romantiser la mort. Des extraits de ces clips sont réinterprétés à l’ône de cette affaire.

Une scène où il enterre une boîte sous un arbre devient soudain lourde de sous-entendu. Le clip de romantique homicide est retiré de certaines plateforme jugé inapproprié par des groupes de pression. Au cœur de cette tempête, une question persiste. Qui était véritablement céleste ? Était-elle une muse, une amoureuse, une amie ou un simple symbole poétique devenu réel ? Les proches de D4 VAD ne s’expriment pas.

 Pas de parent, pas de manager, pas d’avocat visible. Un silence assourdissant et puis un twist. Un ancien camarade de classe de Céleste sous couvert d’anonymat affirme lors d’une émission que la jeune fille aurait confié avoir peur de quelqu’un de célèbre quelques mois avant sa mort. Il ne cite pas de nom mais dans l’opinion publique, le lien est tout trouvé.

C’est le début d’une descente vertigineuse pour des quatre VAD et pourtant le pire est encore à venir. Les jours qui suivent l’identification officielle du corps de céleste Trivas Hernandez transforment l’onde de choc en tsunami médiatique. Des cas des votes devient l’homme le plus observé du moment sans avoir été inculpé.

 La machine judiciaire s’active mais lentement. Pendant ce temps, les médias eux jugent à la vitesse d’une story virale. Chaque geste, chaque mot, chaque silence du chanteur est disséqué en boucle. Le 21 septembre, le procureur de Los Angeles confirme que l’artiste est bien entendu dans le cadre d’une enquête criminelle, mais précise qu’aucune charge formelle n’est retenue pour l’instant.

 Trop tard, dans l’imaginaire collectif, des quêtes des votes n’est plus une étoile montante mais le principal suspect d’un drame insondable. Les premières fissures apparaissent dans son entourage. Des promoteurs annoncent l’annulation pure et simple de la tournée prévue pour l’automne 2025. Un festival majeur retire son nom de l’affiche.

 Son équipe de Manathmant reste muette. Certains membres suppriment même toute mention de lui sur Linding et X. Le jeune homme se retrouve isolé, encerclé, vidé son réseau professionnel en quelques jours. Le 23 septembre, une chaîne d’information dévoile que le véhicule dans lequel Céleste a été retrouvé appartenait effectivement à des cases des votes, mais qu’il aurait déclaré ne plus l’utiliser depuis plusieurs semaines.

Une déclaration qui ne convainc pas l’opinion. Les spéculations enflent. Comment expliquer la présence du corps ? Qui conduisait le véhicule ? Pourquoi n’a-t-il pas signalé sa disparition s’il connaissait ? des questions que l’artiste, toujours silencieux, refuse de commenter. C’est alors que la presse People s’emmêle.

 Une ancienne collaboratrice maquilleuse sur un clip en 2024 affirme anonymement que des quat des votes auraient été émotionnellement instables parlant sans cesse d’une jeune fille qu’il avait perdu. Une autre source évoque des crises de panique en coulisse, un besoin compulsif de tout contrôler, de tout effacer. Le mythe du jeune homme timide et inspiré commence à se fissurer derrière la douceur, la noirceur.

Dans le même temps, des fans décident de défendre leur idole. Le hashtagf desc votes monte en tendance. Des vidéos YouTube dissèces l’affaire, analysent les incohérences, dénoncent un lynchage digital injuste. Mais d’autres rappellent que Céleste n’était qu’une adolescente de 15 ans, qu’elle n’a plus la parole, qu’il ne s’arit pas d’un simple malentendu.

Le 26 septembre, un enregistrement audio est publié anonymement sur une plateforme cryptée. On y entend une voix masculine attribuée par certains à des cades des votes déclaré : “Je voulais qu’elle s’en aille, je ne savais plus comment l’aimer.” L’authenticité de l’enregistrement est contestée mais l’effet est immédiat.

 Le doute devient certitude pour beaucoup. La presse, de son côté refuse de commenter les fuites et les interprétations hasardeuses, mais les enquêteurs confirment qu’ils examinent les disques durs, téléphone, caméras de surveillance, trace ADN, tout un arsenal pour tenter de reconstituer les dernières heures de Céleste. Un silence judiciaire plan, lourd, stratégique.

Et au milieu de cette tempête, Descat desvotes poste une seule phrase sur son compte X le 28 septembre. J’ai tout perdu, sauf la vérité. Le message est liké, partagé, moqué, remixé. Certains y voient un aveu cryptique, d’autres une ultime tentative de reprendre le contrôle. Pendant ce temps, une rumeur insidieuse se répand.

Un journaliste aurait retrouvé un journal intime de Céleste dans lequel elle évoquerait un amour interdit avec un homme trop connu pour l’assumer. L’information n’est ni confirmée ni démentie, mais le récit médiatique est déjà lancé. Le drame dépasse l’homme. Il devient symbole d’une génération sans repère, haé par la gloire trop vite, sans maturité ni garde fou.

 Et dans cette montée inexorable vers le gouffre, la chute semble inévitable. Puis tout s’arrête. Plus de communiqué, plus d’analyse. Les médias, l’assé change de cible. L’affaire céleste glisse dans un silence pesant comme si l’opinion elle-même craignait d’en savoir davantage. Dès 4V disparaît des radars. Ses contestent inactifs.

 Aucun avocat ne prend la parole. Un ex-ami de studio affirme qu’il serait parti à l’étranger pour respirer. D’autres évoquent une retraite temporaire dans un ranch isolé au Texas chez des membres de sa famille. Personne ne confirme. C’est dans cette obscurité que survient une scène bouleversante. Le 3 octobre 2025, dans une église discrète de Los Angeles, une messe privée est célébrée à la mémoire de Céleste.

 Quelques proches sont présents entourés de fleurs blanches. Et à la surprise de tous, David Burk apparaît, vêtu de noir, le regard bas, protégé par deux gardes. Aucune parole, aucun geste déplacé, juste sa présence figée dans une douleur visible. Un photographe discret capte l’instant. L’image fait le tour du monde. Un témoin rapporte que durant la cérémonie, la mère de Céleste aurait simplement posé une main sur son épaule sans un mot.

 Le geste énigmatique est interprété 1000 fois. pardon, compassion, simple respect. La scène devient virale. Certains y voi un acte de réconciliation muette. D’autres y lisent l’injustice de devoir pleurer une enfant sans explication. Mais une chose est sûre, l’émotion est là, brute, irréversible. Dans les jours suivants, la police de Los Angeles publie une mise à jour succinte.

 L’enquête est toujours en cours. Aucune inculpation à ce jour. Et c’est tout. Le silence judiciaire devient définitif. La justice ne parle plus. Le public non plus. Ce drame qui semblait tout emporter se dissout lentement dans les brumes de l’oubli. Aucun aveu, aucun procès, aucune vérité officielle. Mais une question hante encore ceux qui l’ont suivi.

 Décad est-il victime d’un système sans pitié ou acteur d’un amour toxique et dangereux ? Et peut-être dans cette incertitude absolue se trouve la cruauté la plus profonde de cette histoire, celle de ne jamais vraiment savoir. Mesdames, messieurs, il reste une voiture, un corps, des chansons et un silence. Une histoire sans fin suspendue entre les mots d’un artiste et les larmes d’une famille.

 Le nom de céleste Rivas Hernandez ne raisonne plus sur les réseaux, mais son absence, elle pèse encore sur chaque note que DCADV a pu l’écrire. La justice ne s’est pas prononcée, l’épreuve reste floue et pourtant des carrières se brisent, des vies sont figées. Dans ce vide, chacun projette sa vérité, son fantasme, sa peur.

 Était-ce un amour impossible, une fuite incontrôlable ? un accident ou simplement une tragédie adolescente sans coupable identifiable ? La célébrité protège-t-elle ou détruit-elle ? Le public a-t-il le droit de juger avant même que la justice parle ? Et surtout, que reste-t-il de la musique quand le doute s’insinue dans chaque refrain ? Chers téléspectateurs, il y a des histoires qui ne trouvent jamais de conclusion, des vérités qu’aucun tribunal ne prononcera et parfois ce sont les silences qui crient le plus fort. Stort.

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *