À 70 ans, Nicolas Sarkozy dévoile les cinq personnes qu’il ne pardonnera jamais…

Mesdames, messieurs, le 25 septembre 2025, un tribunal parisien rend un verdict historique. Nicolas Sarkozi, ancien président de la République, est reconnu coupable d’association de malfaiteurs dans l’affaire des financements libyens. Quelques jours plus tard, une autre sentence symbolique tombe.

L’État lui retire la légion d’honneur. Pour la première fois dans l’histoire de la 5e République, un chef d’État français est condamné à une peine de prison ferme assortie d’une inéligibilité définitive. La chute est vertigineuse, autrefois adulée, surnommé le président hyperactif. Sarkozy est désormais l’incarnation d’un pouvoir qui vaille sous le poids des affaires entre manipulation politique, relation trouble avec des dictateurs étrangers et batailles judiciaires interminables, son destin bascule.

Comment un homme promis à la grandeur s’est-il retrouvé au banc des accusés conspé jusque dans son propre camp ? Ce récit lève le voile sur une vérité dérangeante, celle d’un règne marquée autant par la conquête que par le soupçon. Nicolas Sarkozy voit le jour le 28 janvier 1955 à Paris dans une famille marquée par l’exil. Son père Paul Sarkozi, aristocrate hongrois réfugié politique et sa mère André Mala, issue d’une lignée juive originaire de Salonique lui transmettent un héritage complexe.

Très tôt, il forge une personnalité combative, affirmée, parfois clivante. Après des études de droit à Paris X Nanterre, il gravit les échelons politiques à une vitesse fulgurante. a seulement 28 ans. Il devient maire de Neï sur scène puis député avant de se faire remarquer pour ses talents de stratège au sein du RPR. Sous la présidence de Jacques Chirac, il occupe des ministères clés dont l’intérieur et les finances, mais son ambition déborde.

Il prend le contrôle de l’UMP en 2004 malgré l’hostilité du président en exercice. En 2007, il accède à l’Élysée après une campagne musclée incarnant la rupture et la modernité. Sa relation avec Carla Bruni officialisée quelques mois après son élection fascine autant qu’elle divise. Pendant son quinquena, il affronte la crise financière de 2008, gère la réforme des retraites, renforce le contrôle migratoire mais se heurte aussi à une impopularité croissante.

Charismatique et omniprésent, Sarkozy manie les médias avec aisance, impose un rythme effrainé à ses ministres et se positionne comme un homme d’action. Pourtant, derrière cette énergie, une image s’installe peu à peu, celle d’un homme qui confond vitesse et précipitation, autorité et brutalité. Les critiques fusent sur son style jugé trop personnel, trop clivant.

Certains l’accusent de favoriser les élites économiques. D’autres dénoncent sa politique sécuritaire comme stigmatisante. Malgré tout, il reste un animal politique redouté, capable de rebondir là où d’autres sombrer. En 2012, il est battu par François Hollande dans une élection tendue. Sarkozy annonce alors son retrait de la vie politique.

Mais 2 ans plus tard, il revient à la tête de l’UMP promettant de réinventer la droite. Il rebaptise le parti les Républicains et entame une nouvelle bataille pour la présidentielle de 2017. Pourtant, quelque chose a changé. Son aura s’ffrite, des affaires judiciaires commencent à émerger. Son entourage se fragilise et son autorité est contestée jusque dans ses propres rangs.

Eric Wert, Nadine Morano, Bruno Lemire, autant d’alliés d’hier devenus concurrents ou critique. Les médias dévoilent une autre facette de l’ancien président. C’est un homme traqué par la justice, obsédé par le contrôle et prêt à tout pour protéger son image. Ce glissement progressif de l’homme d’État vers le justiciable nourrit les débats en France.

Les soutiens se raréfient, les tensions internes explosent et le nom de SarkoZi, autrefois synonyme de conquête, devient synonyme de soupçon. Pourtant, malgré les nuages, il persiste à affirmer son innocence, à dénoncer un acharnement, à se présenter en victime d’un système qu’il juge biaisé.

Les premiers nuages sérieux apparaissent en 2014 avec une affaire qui secoue la République, celle des écoutes. Alors que Nicolas Sarkozi prépare son retour en politique, les enquêteurs découvrent qu’il utilise un téléphone secret sous le pseudonyme de Paul Bismutth pour échanger avec son avocat Thierry Herzog. Le contenu de ces conversations révèle une tentative d’obtenir des informations confidentielles auprès du magistrat Gilbert Aziber en échange d’un poste convoité à Monaco. Le choc est immense.

Un ancien président soupçonné de trafic d’influence et de corruption active. La France est sidérée. Cette révélation marque un tournant. Pour la première fois, la justice semble vouloir faire tomber le vern de l’immunité présidentielle. Sarkozy lui crie au complot, accuse les juges d’être politisé mais les révélations ne cessent d’affluer.

En parallèle, une autre bombe explose, la fameuse affaire Big Malion. L’enquat révèle que lors de la campagne présidentielle de 2012, l’équipe Sarkozi aurait mis en place un système de fausse facture avec la société Bigma Lyon pour masquer un dépassement massif des plafonds de dépenses autorisés. Le scandale prend de l’ampleur.

Plusieurs cadres de l’UMP sont mis en examen. Sarkozi, lui continue de nier toute implication personnelle. Mais le plus retentissant reste à venir. En 2018, le journal Mediapart publie des documents explosifs. Des preuve suggérant que la campagne présidentielle de 2007 aurait été partiellement financée par le régime libyen de Moamar Kaddafi.

Enregistré à son insue, une déclaration de l’un des fils Kaddafi vient renforcer les soupçons. La justice française ouvre alors une information judiciaire pour corruption passive, financement illégal de campagne électorale, recelle de détournement de fonds publics et association de malfaiteurs. Sarkozy est placée en garde à vue puis mise en examen.

Les images de l’ancien chef de l’État dans les couloirs du pôle financier cerné par les caméras choquent l’opinion publique. Dans l’entourage de Sarkozi, la panique s’installe. Certains collaborateurs prennent leur distance, d’autres sont convoqués à leur tour. Thierry Herzog jusque la loyale se retrouve lui aussi dans la tourande judiciaire.

Les tensions entre eux deviennent palpables. L’opinion publique, elle se divise. Une partie des Français voit en SarkoZi la victime d’un acharnement judiciaire. Une autre y voit la preuve d’un système corrompu jusqu’au sommet. Les éditorialistes s’enflamment. La presse internationale s’empare du dossier. La figure de Sarkozy change d’homme d’action à homme de dossier.

À mesure que les procès se multiplient, les fissures dans l’image de l’ancien président deviennent béantes. En 2021, il est condamné à 3 ans de prison dans l’affaire des écoutes dont un an enferme sous bracelet électronique. En 2024, la condamnation est confirmée en appel. La même année, il est reconnu coupable dans l’affaire Big Malion.

Et puis vient 2025. Le 25 septembre, il est définitivement condamné à 5 ans de prison pour association de malfaiteurs dans le cadre du financement libyen. Un séisme politique. L’État français lui retire la Légion d’honneur. La droite traditionnelle, longtemps fidèle, reste silencieuse. Mais derrière ces procédures se joue une tragédie plus intime.

L’homme SarkoZi, toujours combatif, apparaît marqué. Ces déclarations publiques se font plus rares, plus mesurées. Il se dit blessé dans sa chair mais fidèle à ses valeurs. Certains anciens ministres comme Eric W prennent leur distance. La rupture est consommée avec plusieurs figures historiques. Le repossi se tourne de lui.

Angela Merkel, autrefois sa partenaire pendant la crise de l’euro, refuse tout comme mentaire. Le fossé est creusé. Et pourtant, même à Culé, Sarkozy ne renonce pas. Il multiplie les recours, refuse toute concession, clame son innocence. Mais pour beaucoup, une aire est bel et bien révolue. Une è où le pouvoir se croyait intouchable, une ère où les frontières entre influence, politique et justice étaient plus troubles qu’on ne voulait l’admettre.

Le masque est tombé et avec lui l’illusion. À l’approche de l’audience décisive de septembre 2025, le climat autour de Nicolas Sarkozy devient irrespirable. L’homme autrefois omniprésent se mur dans le silence. Dans les couloirs du tribunal judiciaire de Paris, son nom raisonne comme une anomalie. Un ancien président assis sur le banc des prévenus, accusé d’avoir accepté des valises de billets envoyées depuis Tripoli.

L’accusation n’est plus seulement morale ou politique, elle est judiciaire, documentée, martelée. Durant l’audience, les procureurs rappellent le rôle central qu’il aurait joué dans l’orchestration de ce financement clandestin. En face, la défense parle d’un procès du siècle, d’un acharnement d’État.

Carla Bruni, souvent discrète, sort de sa réserve. Elle évoque un homme brisé médigne, un complot contre un président qui a dérangé les puissants. Elle l’accompagne au tribunal main dans la main sous le feu des photographe. Mais l’image ne suffit plus à inverser la tendance. Même les soutiens historiques se taisent. Jean-François Copé, Xavier Bertrand, Lauren Voie Kiaze.

Tous préfèrent éviter de commenter. L’isolement devient tangible. Les anciens lieutenants de SarkoZi comme Eric Wht plaident aujourd’hui pour une droite apaisée tournée vers l’avenir. Le verdict est rendu. 5 ans d’emprisonnement. dont deux fermes. Sarkozy ne sera pas incarcéré immédiatement, mais il est désormais marqué à jamais.

Quelques jours plus tard, un décret présidentiel signé par Emmanuel Macron lui retire la Légion d’honneur. Une sanction rare réservée au cas les plus graves. Dans les médias, la nouvelle fait l’effet d’une déflagration. Sur les plateaux de télévision, les analystes s’interrogent. Comment en est-on arrivé là ? Sarkozi est-il victime de son tempérament de feu ou bien d’un système qu’il a lui-même nourri par son rapport trouble à l’argent et au pouvoir ? À l’étranger, la presse allemande parle d’une chute impériale. En Italie, certains journaux

titrent sur la fin d’un caïd. En France, le monde publie un éditorial au titre glaçant : la République humiliée. Les partisans les plus fervants dénoncent une justice politisée. Mais les faits sont là. Dans les dossiers judiciaires, dans les enregistrements, dans les transferts d’argent, dans les témoignages des anciens dignitaires libyens.

Pour Sarkozi, le coup est d’autant plus rude qu’il frappe son honneur. Il avait toujours rêvé d’entrer dans l’histoire comme un bâtisseur, un réformateur, un chef d’état énergique et visionnaire. À la place, c’est par ses affaires qu’il est désormais évoqué. Le choc est profond, intime. Lors d’une rare déclaration à la presse, il lâche, visiblement ému, “J’ai servi la France avec sincérité, jamais je n’ai trahi.

” Mais les faits judiciaire s’accumule. Les écoutes avec Herzog, la tentative d’obtenir des informations via Gilberazer, les fausses factures de Big Malon et enfin les flux financiers en provenance de Tripoli. Dans les années 2010, ces éléments paraissaient épar. En 2025, ils forment un tout cohérent, une toile qui cerne un homme autrefois intouchable.

Certains juristes parlent d’un exemple républicain. Nul n’est au-dessus des lois, mais d’autres voient dans l’acharnement judiciaire une forme de revanche sociale sur les élite politique. Dans les quartiers populaires, les réactions sont partagées entre satisfaction et indifférence. Dans les cercles diplomatiques, c’est l’embarras.

Plusieurs anciens partenaires européens refusent tout commentaire officiel. Les proches de Sarkozy dénoncent l’humiliation publique. Son avocat, maître Jacqueline Lafond, évoque une dérive du procès spectacle. Les anciens membres du gouvernement se taisent ou esquivent. Le silence devient une barrière entre l’ancien président et le monde qu’il a autrefois dominé.

Même l’église qu’il avait encourtisé dans ses discours reste muette. Le 28 septembre 2025, à la suite d’une ultime audience, Nicolas Sarkozi quitte le palais de justice sans un mot. Aucun regard vers les caméras, juste une main posée sur l’épaule de son épouse. Ce jour-là, pour beaucoup de Français, ce n’est pas un homme qui tombe, mais l’idée même de l’invulnérabilité politique.

Le 25 septembre 2025, il est un peu plus de 10h du matin lorsque Nicolas Sarkozi pénètre dans la 32e chambre correctionnelle du tribunal de Paris. Costume sombre, visage fermé, il s’installe sur le banc seul. Carla Bruni n’est pas à s’écouter ce jour-là. Elle a choisi de ne pas assister à l’audience finale, déclarant dans un communiqué que la douleur d’une injustice est parfois trop forte pour être supportée en silence.

Dans la salle, un silence de plomb accompagne la lecture du verdict. 50 prisons dont deux fermes pour association de malfaiteurs. La stupeur est totale, même si la condamnation était prévisible. À l’extérieur, une foule de journalistes de Bado s’amassent derrière les barrières de sécurité. Quelques cris éclatent : “Justice pour tous ! La République, c’est l’exemplarité.

À cet instant, une réalité s’impose. Un ancien président de la République française vient être condamné à une peine de prison ferme. Sarkozy reste immobile, les yeux baissés. Aucun mot, aucun geste. Ce silence, lui qui fut si bruyant politique, est une rupture profonde. Il se lève, sert la main de ses avocats, puis quitte la salle sans se retourner.

Dans les heures qui suivent, l’Élysée publie une brève déclaration. La décision de justice s’impose à tous. Mais un autre événement va frapper fort. Le soi-même, le ministère de la défense annonce que Nicolas Sarkozy est officiellement radié de l’ordre de la Légion d’honneur. Cette sanction rarissime est perçue comme un coup de grâce symbolique.

À Neil sur scène, là où tout avait commencé pour lui en tant que maire, les drapeaux ne sont pas mis en berne. Aucun hommage local, juste des murmures dans les couloirs de la mairie. On n’efface pas si facilement l’histoire, dit un élu, mais on ne peut pas l’ignorer non plus. La presse du lendemain est sans pitié. Le Figaro parle d’un électrochoc politique.

Libération titre fin de règne et Miaapart publie une chronologie accablante des 11 ans d’enquête judiciaire. À la télévision, les chroniqueurs s’interrogent. Comment un homme aussi intelligent a-t-il pu tomber dans de telles compromissions ? Qui savait ? Et après lui, qui sera le prochain ? Dans les cafés parisiens, les conversations sont fébriles.

Dans les banlieux, certains se disent que la justice enfin est la même pour tous. Mais au-delà des commentaires et des plateaux, ce 25 septembre est aussi un moment humain, un basculement intime. Sarkozy rentre chez lui dans la soirée, escorté loin des caméras. À son arrivée dans la villa familiale, ses enfants l’attendent.

Ils laissèrent longuement contre lui sans parler. Car la Bruneie reste en retrait. C’est l’une des rares fois où elle refuse de s’exprimer publiquement. Une source proche du couple confier plus tard. Ce jour-là, il n’a pas pleuré mais il n’a pas dormi plus. Le lendemain matin, aucune déclaration officielle, mais une lettre manuscrite est transmise à la presse.

Je suis tombé, oui, mais je suis debout. Je ne renis rien, ni mes combats, ni mes échecs. Cette phrase circule sur les réseaux sociaux provoquant autant de colère que d’admiration. Dans un pays fracturé, la figure de Nicolas Sarkozy continue à diviser. Mais ce 25 septembre, il est devenu bien plus qu’un homme politique.

Il est devenu le symbole vivant d’une époque révolue, d’un pouvoir qui croyait pouvoir tout se permettre et qui a dû un jour faire face au prix du réel. Mesdames, messieurs, après tant d’années de lutte, de pouvoir et de tumulte, que restera-t-il du nom de Nicolas Sarkozy ? un président réformateur au style direct ou un homme rattrapé par ses excès.

L’histoire jugera. Mais une chose est certaine, cette condamnation marque un précédent. Elle trace une ligne, celle qui sépare la grandeur politique de la responsabilité morale et pénale. Certains diront qu’il a été sacrifié, d’autres qu’il a payé le prix de ses propres dérives. Dans les écoles de droit, son cas sera étudié comme un tournant.

Dans les cercles politiques, il deviendra un avertissement et dans les mémoires françaises, il demeurera comme l’homme qui a tout connu jusqu’à l’humiliation suprême, le pouvoir, la chute, le silence. Reste cette question ouverte, poignante ? Peut-on vraiment tout pardonner à ceux qui ont gouverné ? Ou faut-il un jour leur présenter le miroir des lois qu’ils ont eux-mêmes façonnés ? À vous de répondre, chers téléspectateurs.

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