WOW! Bénabar révèle la raison pour laquelle il a quitté Paris pour retrouver son magnifique et vaste domaine du Vaucluse : « J’ai la vie matérielle d’un grand bourgeois, le potentiel pour tromper, mais… » 👇👇👇

Bénabar – de Paris à la quiétude du Luberon

Le 16 juin, le chanteur Bénabar a soufflé ses 56 bougies. Bien qu’il soit né à Val-de-Marne, près de Paris, la capitale ne lui a jamais vraiment semblé familière. Chaque fois qu’il peut échapper au rythme effréné de la ville, il retrouve le Luberon – une terre qu’il considère comme sa seconde patrie.

À Gordes, l’un des plus beaux villages du Vaucluse, Bénabar possède une demeure qui reflète son goût pour la simplicité. Nichée au cœur de la garrigue et entourée d’oliviers, elle abrite un somptueux piano à queue – cadeau de ses 50 ans – ainsi qu’un home studio qu’il a lui-même aménagé. C’est dans ce cocon de sérénité qu’il a, durant le confinement de 2020, esquissé et enregistré les maquettes de son album Indocile heureux, paru en 2021.

Gordes n’est pas seulement un lieu de création pour Bénabar. Sa maison est aussi un lieu de partage, où il aime réunir amis et famille. Dans le jardin, un terrain de pétanque – offert par son épouse Stéphanie pour son anniversaire – anime les journées. Même s’il avoue ne pas exceller dans ce sport, l’artiste s’y adonne volontiers, transformant sa propriété en véritable point de rencontre convivial. Il n’est pas rare que des dizaines de proches se retrouvent ici pour chanter, discuter et festoyer.

Autre plaisir cher à Bénabar : la cuisine. Il peut y passer des heures, notamment pour préparer ses fameuses pizzas napolitaines. Ses repas s’accompagnent souvent de vins locaux, parmi lesquels ceux de son ami Étienne Imbert, propriétaire du domaine Chapelle Saint Heyriès à Gordes. Depuis 2019, Bénabar est d’ailleurs parrain de la cuvée « Mon Amour », symbole d’une amitié fidèle et sincère.

Bien qu’il fasse partie des artistes français les plus populaires, avec des millions d’albums vendus, Bénabar – de son vrai nom Bruno Nicolini – reste attaché à une vie sobre et discrète, loin des mondanités. « J’ai conscience d’être un privilégié et de mener aujourd’hui une vie de grand bourgeois. Mais je n’aime pas prendre l’avion, je n’ai aucun goût pour le ski, la plage ou les clubs huppés », confie-t-il.

Pour lui, le bonheur réside ailleurs : une promenade dans les ruelles du village, un footing avec la musique dans les oreilles, un dîner animé entre amis ou simplement une soirée passée devant son four à pizza.

À Gordes, Bénabar retrouve non seulement la paix intérieure, mais aussi un lien précieux avec ses origines corses héritées de son père. Il aime fréquenter le restaurant U Stazzu Di Machja, à Cabrières-les-Avignon, où l’accueil chaleureux de Phil et Martial le fait se sentir comme en famille. Les repas se terminent souvent par un tiramisu à la châtaigne, clin d’œil savoureux à ses racines méditerranéennes.

Voilà près de sept ans que Bénabar a fait du Luberon son refuge. Comme d’autres artistes séduits par cette région lumineuse, il a transformé sa maison de Gordes en un lieu hybride : à la fois foyer familial et atelier de création. Une preuve que, malgré la célébrité, il a choisi une voie faite d’équilibre, de simplicité et d’authenticité – une vie inspirante à l’image de ses chansons.

Installé dans une belle demeure du Vaucluse, Bénabar savoure une vie à la fois simple et équilibrée, loin de l’agitation des tournées. Mais si cette maison est pour lui un refuge, c’est surtout dans sa vie sentimentale qu’il trouve la véritable stabilité. Depuis la fin des années 1990, il partage son quotidien avec Stéphanie, rencontrée lors d’un petit spectacle donné dans un café. Ensemble, ils ont construit une histoire solide, faite de complicité et de confiance. Mariés en 2010 à Saint-Mandé, dans le Val-de-Marne, ils étaient déjà parents de Manolo, né en 2004, avant d’accueillir leur fille Ludmilla en 2009.

Bénabar papa fier : il s’affiche avec sa fille dans un très rare cliché

Lorsqu’il se confiait en 2013 à Paris Match, l’artiste ne cachait pas son bonheur conjugal. Fidèle, dit-il, presque par « paresse », il expliquait avec humour qu’il ne se voyait pas mener une double vie : « Moi je suis fidèle… Peut-être par flemme. Cacher des textos me semble insurmontable, ce serait beaucoup trop compliqué à gérer… Pour tromper sa femme, il faut une énergie incroyable, que je n’ai pas ! »

Conscient de ses failles et de son tempérament parfois dispersé, il reconnaissait cependant avoir besoin d’un cadre, d’un regard bienveillant qui l’ancre : « Rien de tel qu’une famille soudée et aimante pour se sentir sécurisé. Je vais vous faire une confidence, tel un enfant, j’ai toujours besoin qu’un adulte jette un œil sur moi… ce que fait parfaitement ma femme ! » confiait-il à Gala. Une sincérité qui transparaît également dans sa chanson Tous les divorcés, écrite comme une manière d’exorciser cette peur inconsciente de voir son couple fragilisé.

“Pour tromper sa femme, il faut…” : Bénabar marié à Stéphanie depuis 15 ans, il se confie sur la fidélité

Ce qui semble renforcer leur union, selon lui, c’est aussi le fait que Stéphanie ait connu l’homme avant le chanteur : « Le fait qu’on se soit connus avant que je ne devienne officiellement chanteur a peut-être été important. Je ne sais pas. On est compatibles parce qu’elle n’est pas du tout impressionnée par mon métier… » expliquait-il.

À cette complicité s’ajoute une complémentarité de caractère qui fait leur force. « Elle est très posée et discrète. Ce qui ne veut pas dire qu’elle n’a pas de caractère. Moi qui suis hyperactif, hyperémotif et qui ai une vie un peu déglinguée parfois, elle le supporte très bien. Elle n’est pas dans ce délire. Ce qui permet un équilibre familial… » Un équilibre qui, plus de vingt ans après leur rencontre, continue de nourrir leur histoire.

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