Elle m’impressionne. C’est c’est en fait c’est un peu ce côté. Mesdames, messieurs, tout a commencé par une phrase glaciale : “Je ne pardonnerai jamais à Latitia”. Ces mots prononcés en 2025 par David Alidet ont raisonné comme une déflagration dans la mémoire collective. Le fils unique du roi du roc français venait de rouvrir une plie que la France croyait refermer, celle du testament de Johnny Halid.
Derrière le calme apparent, il y a l’enfant blessé d’un couple mythique, Johnny et Sylvie Vartan, devenu artiste à son tour, mais marqué avis par les déchirures d’une famille sous les projecteurs. Pourquoi cet homme discret, longtemps resté dans l’ombre, a-t-il choisi de parler ? Est-ce un cri du cœur ou un verdict contre celle qui l’accuse d’avoir profané la mémoire de son père ? Ce soir, chers téléspectateurs, plongeons dans la vie, la colère et l’héritage d’un fils qui refuse l’oubli.
David Michel Benjamin Smet, né le 14 août 1966 à Boulogne Bilancour, au cœur d’un univers déjà façonné par la célébrité, son père Johnny Alid incarne le rock français, sa mère Sylvie Vartan et la reine de la popie. Ensemble, il forment le couple le plus mythique des années 1960-190. de cette union naî fils destiné à vivre sous les projecteurs.
Lorsque ses parents divorcent, David n’a que 6 ans. Il partage alors son enfance entre Paris et Los Angeles, découvrant très tôt le contraste entre le tumulte du showbsiness et la solitude des coulisses. Élève au lycée français de Los Angeles, il apprend la musique, la batterie, la guare et commence à composer pour échapper à son héritage trop lourd.
En 1988, il publie son premier album True Cool, chanté en anglais. Le disque rencontre un succès immédiat en France et en Belgique, propulsant le jeune homme dans la sphère pop rock internationale. 2 ans plus tard, Rocken Hart confirme son talent de mélodiste sensible, loin des excès de son père. Contrairement à Johnny, David écrit ses propres textes, creusant le thème de la famille, de la mémoire et du manque.
En 1999, un paradis, un enfer révèle un artiste plus mû récompensé aux victoires de la musique en 2000 pour le meilleur album Pop Rock. Mais David n’est pas qu’un chanteur. Il compose pour d’autres artistes, signe des bandes originales de film et passionné de vitesse participe en 2003 aux 24 heures du M. Son profil d’homme libre fascine.
Il a hérité du feu intérieur de Johnny mais aussi de la pudeur élégante de Sylvie. Sa vie amoureuse alimente elle aussi la presse. En 1989, il épouse le mannequin Estelle Lfébur, mère de ses deux filles Ilona et Emma. Cette dernière devenue actrice à son tour. Après leur séparation, il retrouve l’équilibre auprès d’Alexandra Pastor, héritière de la dynastie monégasque des Pastors, l’une des familles les plus riches d’Europe.
Ce mariage le fait entrer dans un monde où luxe et discrétion se mêlent. propriété à Monaco, hôtel familiaux, ya. Pourtant, derrière la réussite et la fortune, David reste hanté par un passé qu’il n’a jamais choisi. Il avoue souvent que la gloire de ses parents fut à la fois un cadeau et un fardeau. Chaque note qu’il joue semble un dialogue silencieux avec son père disparu.
Une tentative d’exister sans renier l’héritage à l’idée. L’artiste devenu père à son tour cherche la paix là où son enfance ne l’a jamais trouvé. Dans la musique, seul langage où la douleur devient mélodie. Le décembre, la France entière s’est figée. Johnny Halidet s’éteigné à Marne la coquette, emporté par un cancer du poumon.
Mais derrière les hommages nationaux, un autre drame se préparait. Plus intime, plus brutal. Quelques semaines plus tard, la révélation de son testament fit l’effet d’une bombe. L’idole avait tout légué à sa dernière épouse, Latitia, excluant David et Laurm de toute succession. Ce geste justifié par le droit californien allait déclencher la plus médiatisée des guerres familiales du siècle.
Pour David, la blessure était bien plus profonde qu’une question d’argent. Elle remontait à un épisode qu’il n’a jamais digéré. L’hiver 2009 à Los Angeles. Johnny venait d’être placé dans un coma artificiel après une opération du dos raté. Lorsque David arrive à l’hôpital Sidar Sinai, il découvre avec stupeur des photographes aux portes de la chambre.
Selon lui, c’est Latitia qui aurait laissé rentrer les caméras transformant le drame familial en spectacle. Ce jour-là, dit-on, le fils s’est refermé. Il n’a plus jamais regardé sa belle-mère de la même façon. 8 ans plus tard, le décès du ta ravive cette plaie. Lorsque le notaire annonce que le testament californien prive les enfants biologiques de tout droit, la France s’indigne.
“Comment le fils de Johnny Alid peut-il ne rien recevoir ?” titre les journaux. David et Laura décident alors de saisir le tribunal de Nanterre pour contester la validité du document au nom du droit français qui protège les héritiers réservataires. Commence alors une guerre juridique de 3 ans rythmée par des interviews, des plateaux télé et des silences calculés.
Latitia, de son côté se défend. Johnny a voulu que je poursuive son œuvre. Elle se présente comme la gardienne de la mémoire du chanteur tandis que David accuse une manipulation émotionnelle d’un homme affaibli. En coulisse, des avocats s’affrontent, des fans se divisent et la légende à l’idée se fissure.
Paris match, gala, voici, tous relatent chaque détail, chaque phrase. “Je ne veux pas de conflit”, répète David, mais sa voix tremble. Ce n’est pas une querelle de fortune, c’est une guerre pour le respect d’un père qu’il juge trahi. Le 3 juillet 2021, un accord est enfin trouvé à l’amiable. David renonce à contester davantage, mais le cœur n’y est pas.
Il déclare : “Je ne m’é bat pas pour l’argent, mais pour la vérité. Derrière ces mou, on sent la fatigue d’un homme qui a dû se battre non pour obtenir, mais pour exister. La paix juridique ne soigne pas la cicatrice morale. Dans les médias, il reste sobre, évite les plateaux. Pourtant, en 2025, lorsqu’un journaliste du Figaro lui demande s’il a pardonné à Latitia, il lâche cette phrase glaciale : “Jamais.
Ces six lettres prononcées sans colère suffisent à rallumer la flamme des réseaux sociaux. Le pays se divise à nouveau. Certains le traitent d’un gras, d’autres voiton lui le seul gardien du vrai Johnny. Et lui, au milieu du tumulte, reste fidèle à son silence. Celui d’un fils qui ne réclame rien, sinon que la mémoire de son père cesse d’être improduit.
Le mystère de la mort de Johnny a depuis raconté 1000 fois, mais le vrai drame, c’est celui de ceux qui restent et de celui qui ne pardonne pas. Au-delà des querelles médiatiques, le nom Alidervoie à un empire économique colossal. Lorsque Johnny meurt en 2017, son patrimoine est estimé à plus de 100 millions d’euros.
Maison à Marne la Coquette, Saint-Bartelémi et Los Angeles, droits musicaux, voiture de collection, contrat publicitaires et royalties sur plus de 1000 chansons. Selon le testament californien, l’ensemble revient à Latitia et à leurs deux filles adoptives, Jade et Joy. Mais la loi française qui protège les enfants biologiques relance le débat.
Un héritage peut-il effacer les liens du sang ? David Alidé, lui n’est pas un héritier démini. Sa carrière entamée à la fin des années 1980 lui a permis d’amasser une fortune personnelle évaluée à environ 15 millions d’euros. Ses albums, ses tournées et ses droits d’auteur lui assurent une indépendance confortable.
À cela s’ajoute sa vie conjugale. Depuis 2004, il est marié à Alexandra Pastor, issue d’une famille monégasque richissime. Les pastors possèdent un vaste portefeuille immobilier à Monaco. Immeuble de prestige, hôtel, galerie commerciale. Leur fortune dépasse plusieurs milliards d’euros. Par alliance, David entre donc dans un univers où le luxe n’est plus un privilège, mais une habitude.
Cependant, contrairement à la flamboyance de son père, David mène une existence discrète. Sa résidence principale se situe dans le sud de la France. Il partage son temps entre la musique, le sport automobile et la philanthropie. Il soutient notamment des associations pour enfants malades et finance des projets écologiques à Monaco.
Son mode de vie sobre et réfléchi contraste avec les excès qui ont marqué la légende familiale. Pourtant, la presse continue de mesurer sa réussite à l’ône de l’héritage à l’idée. L’accord de 2021 avec Latitia, dont les termes restent confidentiels, auraient mis fin aux procédures judiciaires. Selon le parisien, David aurait accepté un règlement symbolique incluant la reconnaissance de son statut d’héritier.
Aucun chiffre officiel n’a été révélé, mais les observateurs estiment qu’il a surtout gagné une victoire morale. Ses droits d’auteur sur 100 %. L’album qu’il avait composé pour Johnny en 1999 et vendu à plus de 2 millions d’exemplaires demeure intacte. C’est sa vraie richesse. Une trace musicale indélébile, un lien que ni la loi californienne ni les rancunes familiales ne peuvent effacer.
Aujourd’hui, la valeur nette combinée du clan Alid reste l’une des plus commentées de France. Latitia exploite encore les droits postes de Johnny. Réédition, documentaires, projet de musée. David lui garde ses distances. Il refuse d’associer son nom à tout commerce de la mémoire paternelle. “Je fais ma musique, pas celle des tribunaux”, confiait-il en 2022 RTL.
Derrière cette phrase, on lit la volonté d’un homme de transformer la douleur en œuvre. Le patrimoine pour lui n’est plus un chiffre, mais une question de dignité. Et c’est peut-être là la plus grande richesse de ce fils que le monde croyait blessé mais qui silencieusement a appris à se reconstruire sans trahir son nom.
Le 10 janvier 2025 à Paris, une interview exclusive de David Hidé est publiée par le Figaro Magazine. Sobre, sans artifice, l’artiste s’y confie sur son rapport à la mémoire de son père. Au fil des pages, une phrase s’impose : “Je ne pardonnerai jamais à Latitia”. Ce n’est ni un cri, ni un scandale, mais une sentence calme, presque froide.
Dans les heures qui suivent, les réseaux sociaux s’enflamment. En quelques minutes, le hashtag David Alidé atteint le sommet des tendances en France. Les chaînes d’information relancent aussitôt le débat sur l’héritage, la douleur et la réconciliation impossible. Les proches décrivent un homme apaisé mais lucide.
Ce jour-là, il est filmé quittant les studios de RTL, le visage fermé, refusant toute déclaration supplémentaire. On le dit fatigué de devoir justifier son silence. Pour lui, cette phrase n’était pas une provocation, mais une libération. Quinze ans après la scène de Los Angeles, il rent enfin avec un passé qu’il n’a jamais pu enterrer.
Dans les coulisses, ses amis racontent que cette prise de parole n’était pas prévue. Depuis des années, il refusait les plateaux télé, craignant de transformer le deuil en spectacle. Pourtant, la veille de l’interview, il aurait vu un reportage retraçant la vie de Johnny où Latitia apparaissait comme gardienne absolue de son œuvre.
Cette narration qu’il jugeait fausse l’aurait poussé à parler. Pour lui, Latitia a effacé le rôle des enfants aînés dans l’histoire du chanteur. L’après-midi du 10 janvier, devant sa maison du sud, quelques journalistes attendent. David sort brièvement, accompagné d’Alexandra Pastor. Elle lui pose une main sur l’épaule puis le ramène à l’intérieur.
Aucun mot de plus. Le silence devient sa réponse. Le soir même, France I consacre un débat spécial. Peut-on pardonner dans la famille Alidé ? Des images d’archives défilent le mariage de Johnny et Sylvie, les concerts, les sourires d’un père et de son fils sur scène. En fond, la chanson 100 % composée par David pour Johnny raisonne comme une lettre ouverte.
Nos vies s’écrivent dans le même sang. Pendant que les fans se déchirent, David reste cloîré dans son studio travaillant sur un nouvel album. Ceux qui l’ont entendu disent qu’il y chante la réconciliation impossible, la perte et l’amour filial. Son entourage parle d’un disque testamentaire, pas pour son père, mais pour lui-même. Ce soir-là, à Monaco, la mer est calme.
Les lumières des yautes se réflètent sur l’eau et l’on imagine l’artiste seul face à son piano, cherchant les mots que la justice n’a pas su prononcer. Il n’y a ni vengeance ni rancune, seulement la tristesse d’un fils qui a compris que certaines blessures sont faites pour rester ouvertes.
8 ans après la mort de Johnny, la légende continue de rapporter des millions, mais l’unité familiale n’a jamais été retrouvée. David Alid, lui, s’est retiré du tumulte médiatique pour suivre une voix plus intime. Son héritage n’est pas celui des biens, mais des valeurs, la fidalité, la pudeur et le refus du mensonge. À travers ces albums, il perpétue la voix du père sans reproduire son mythe.
“Je veux que mes enfants se souviennent de la vérité, pas de la gloire”, a-t-il pourfié Annie ce matin en 2024. Cette phrase résume tout. La mémoire pour lui n’est pas une vitrine mais une responsabilité. Aujourd’hui, les fans continuent de débattre, les médias de spéculer, mais David a cessé de répondre.
Il compose loin des projecteurs, fidèle à ce qu’il a toujours été, un homme blessé mais debout. Son dernier mot, jamais n’était peut-être pas un refus de paix, mais un moyen de protéger ce qu’il reste d’amour. Car parfois ne pas pardonner, c’est la seule façon de ne pas trahir.