À 73 Ans, Romina Power Fait une Confession Bouleversante

 

Aujourd’hui, nous allons explorer l’histoire d’une femme dont le nom est à jamais lié à des souvenirs musicaux incroyables, mais aussi à la tragédie et à des moments inoubliable. Cette femme, c’est Romina Power. Chanteuse, actrice et peintre, elle a traversé des décennies sous les projecteurs avec grâce, fragilité et force, toujours entourée d’un parfum de mystère.

 Son nom évoque immédiatement le mythique qu’elle formait avec son ancien mari Albano. Ensemble, ils ont chanté l’amour, le bonheur, mais derrière les refrains en têt se cachait une histoire plus profonde, plus tourmentée. À 73 ans, Romina a choisi de briser les silences. Elle a enfin révélé les vérités qu’elle avait longtemps gardé au fond d’elle et ce qu’elle partage bouleverse car il y a des douleurs que même le succès ne peut effacer.

 Si vous pensiez tout savoir sur Romina Power, préparez-vous à découvrir ce qu’elle avait toujours tu. Mais avant cela, pensez à liker cette vidéo et à vous abonner pour nous soutenir. Né octobre 1951 à Los Angeles, dans le berceau même d’Hollywood, Romina voit le jour au cœur d’une famille. Le cinéma et le glamour étaient plus qu’un héritage, une obligation presque génétique.

 Fille du mythique Tyron Power, acteur américain adulé pour ses rôles héroïques dans les années entre 40 et 50, et de Linda Christian, première bongir de l’histoire du cinéma, Romina a grandi dans une atmosphère étincelante mais fragile. Car si les projecteurs éclairaient les sourires, les coulisselles abritaient les fissures d’une union complexe.

 Très jeune, elle assiste au divorce de ses parents. Elle est encore une enfant lorsque cette séparation marque son existence à jamais. Une fracture affective qui creusera en elle une soif de stabilité qu’elle ne cessera de chercher tout au long de sa vie. Sa mère, Linda restera son point d’ancrage. Une femme forte, protectrice, presque fusionnelle avec sa fille qui l’encouragera à s’exprimer à travers l’art.

 Romina, pourtant timide, apprend à transformer ses douleurs en créativité. Très tôt, elle explore la peinture, l’écriture, mais c’est le cinéma qui lui ouvre ses premières portes. Adolescente, elle obtient des rôles en Italie puis en Espagne. Son accent américain, sa beauté fragile, son nom célèbre, tout intrigue. Pourtant, Romina ne s’y sent jamais tout à fait à sa place.

 Le monde du cinéma la fascine autant qu’il les frais. Elle cherche autre chose, un langage plus intime, plus vrai. Et puis à la fin des années 60, le destin prend une autre direction. Une rencontre, un homme Albano Carisi, chanteur italien déjà bien connu pour sa voix puissante et sa sincérité désarmante. Il se croise d’abord sur un plateau télévisé et c’est une évidence.

Musicalement, humainement, quelque chose de fornet. Il chante ensemble, il rit, il s’aime. Le public tombe sous le charme de ce couple solaire, de cette fusion artistique qui devient vite une fusion amoureuse. En 1970, il se marie et ce qui aurait pu rester une simple collaboration devient une légende. Albano et Romina forment un duo inséparable.

 Leur voix s’entrelaent, leur regard se cherchent sur scène et leurs chansons deviennent des hymnes à la joie, à l’amour, à la simplicité du bonheur. Félicita, Sissara, Charasan, Liberta. Des titres qui traversent les frontières et les générations. Il chante en italien, en espagnol, en français, parfois même en anglais.

 Les années 80 sont leur apogé. Dans toute l’Europe, en Russie, en Amérique latine, leur nom est synonyme d’un romantisme tendre, d’une époque douce. Ils sont beaux, jeunes, talentueux et surtout ils semblent heureux. Derrière les caméras, pourtant, le quotidien est plus nuancé. La célébrité est pesante.

 Les tournées, les studios, les obligations médiatiques laissent peu de place à l’intimité. Romina devient mère à plusieurs reprises mais son rôle de maman se heurte à celui de star. Avec Albano, elle a quatre enfants : Yari, Christelle, Romina Junior et leur aîné Ilenia. Cette dernière née en 1970 est le miroir de sa mère.

 Sensible, curieuse, brillante, elle est aussi l’enfant du paradoxe, élevé dans le luxe, mais avide de vérité, de spiritualité. D’ailleurs, Ilenia grandit, écrit rêve de liberté. À l’image de sa mère jeune, elle cherche sa voix loin des cadres imposés. En 1993, alors qu’elle a 23 ans, elle décide de voyager seule aux États-Unis. Elle veut explorer, rencontrer, comprendre.

 Elle part pour la Nouvelle- Orléan avec un sac, un carnet de notes et des promesses de lettre. Et puis soudain, plus rien. En janvier 1994, elle disparaît sans explication, sans trace. La dernière fois qu’on l’aperçoit, elle marche seule près du Mississippi. Un témoin dira l’avoir vu sauter dans le fleuve. Mais aucune preuve n’atteste de ce geste.

 Pour Romina, c’est un coup de tonner. Une douleur si intense qu’elle tort le cœur, consume l’esprit. Elle refuse d’y croire. Pendant des années, elle cherche, elle contacte les autorités américaines, les médias, lance des appels, engage des détectives privé. Elle croit envers et contre tous qu’il est vivante, qu’elle s’est peut-être retirée du monde volontairement, que quelque chose quelque part peut encore les réunir.

 Albano lui, penche pour l’hypothèse tragique. En 2013, il déclare officiellement leur fille décédée. Une décision qui divise le couple. Mais surtout qui celleent la fin de leur relation. Leur douleur n’a pas trouvé le même langage. La disparition d’Ilenia éteint la magie. Romina quitte l’Italie. Elle s’éloigne de la scène, de son mari, du bruit.

 Elle choisit le silence, l’isolement. Pendant plusieurs années, elle vit entre les États-Unis et le Mexique. Elle se consacre à la peinture, à la méditation, à l’écriture. Elle se reconstruit lentement, pierre par pierre, avec la mémoire de sa fille comme guide. Elle écrit des poèmes, des livres, elle peint des visages, des ciels, des souvenirs.

 Romina ne veut plus du monde qui fait semblant. Elle cherche le vrai et pourtant elle reviendra. En 2013, après presque 20 ans d’absence, elle accepte de remonter sur scène avec Albano. Un concert hommage, un moment suspendu dans le temps. Leurs voix n’ont pas changé. Leur regard porte encore les cicatrices, mais aussi cette tendresse intacte.

 Le public est bouleversé. Romina retrouve le temps de quelques chansons, ce lien avec ceux qui l’ont toujours aimé. Ce soir-là, sur la scène de Moscou, les applaudissements ne sont pas seulement pour la musique, ils sont pour l’histoire. Pour cette femme qui, après tant d’années d’ombre, d’absence et de douleur, ose à nouveau se montrer.

 Romina Power, droite, élégante, le regard enbué, chante avec cette voix douce qu’on avait jamais oublié. Chaque mot, chaque note raisonne comme un hommage à l’amour, mais aussi à la résilience. Le duo renaît le temps de quelques tournées sans illusion de retour permanent. mais avec l’envie de célébrer ce qu’ils ont été.

 Une forme de réconciliation artistique, pudique, sans promesse, mais sincère. Romina ne s’installe pas pour autant en Italie. Elle retourne vite à sa vie discrète entre la Californie et le Mexique, là où la mer lui rappelle moins les pertes. Loin des caméras, elle cultive les fleurs, les silences, les souvenirs. Elle s’adonne à ses premières passions, celle d’avant les projecteurs, la peinture, les mots, la recherche de sens. Son art devient un exutoire.

 Ses œuvres colorées expriment la lumière qu’elle tente de préserver malgré les ombres intérieures. Elle publie plusieurs livres dont un en mémoire de sa fille disparu. Elle y évoque des souvenirs tendres, des douleurs brutes, des espoirs jamais éteints. Romina ne clame pas la vérité. Elle raconte ses vérités. Elle refuse d’oublier.

 Dans les médias italiens, elle apparaît par éclat. des interviews rares, souvent émouvantes. Elle parle de sa jeunesse sans filtre, de son mariage avec Albano sans amertume, de ses enfants avec une pudeur immense. Ce qu’elle révèle en revanche avec plus de force, ce sont les silences qu’elle avait toujours gardé. En 2024, dans une émission télévisée suivie par des millions de téléspectateurs, elle brise enfin un tabou.

 Romina parle des abus subis dans le milieu du cinéma lorsqu’elle n’était qu’adolescente. À l’époque, les années 60 et 70, une jeune fille belle et connue était une proie facile dans un univers d’hommes puissants. Elle n’avait jamais osé en parler. Trop de peur, trop de honte, trop de silence imposé. Ce jour-là, devant les caméras, elle ne cherche pas la compassion.

 Elle veut juste libérer une vérité qu’elle n’a plus envie de porter seule. Elle explique comment ses blessures ont influencé son rapport aux autres, à son corps, à l’amour. Elle raconte qu’elle a longtemps vécu avec la culpabilité de n’avoir pas su dire non, de n’avoir pas été cru. Sa voix tremble mais son regard est ferme. Elle ne nomme personne.

 Ce n’est pas une dénonciation publique, c’est une délivrance intime. Un geste pour elle, pour d’autres. Un geste pour sa fille aussi qui écrivait souvent sur la vulnérabilité des femmes et la nécessité de s’exprimer sans crainte. Après cette confession, Romina reçoit des milliers de messages. Des femmes, des hommes, des anonymes, des gens qui disent merci.

 Car parfois, il faut juste qu’une personne brise la glace pour que d’autres osent respirer. Romina n’a jamais revendiqué un combat féministe structuré, mais son parcours, ses silences et ses paroles d’aujourd’hui en font une voix importante. Une voix douce mais ferme. Une voix qui ne cherche pas à convaincre mais à exister pleinement.

Avec ses enfants, le lien est resté fort. Christelle, l’une de ses filles, est devenue chanteuse et présentatrice. Elle incarne une génération plus sereine mais qui reste marquée par le drame familial. Yar, son fils, est lui aussi musicien et engagé dans des projets artistiques spirituels. Romina a transmis quelque chose de profond à ses enfants.

 Cette idée que la vie n’a pas besoin d’être spectaculaire pour être vrai, qu’on peut survivre aux pertes sans renier ce qu’on a aimé, qu’il y a une forme de paix dans l’acceptation. Aujourd’hui, Romina Power vit entre la Méditerranée et l’océan Pacifique. Parfois à Rome, parfois à Malibu, souvent ailleurs, là où l’âme se sent plus légère.

 Elle ne cherche plus les feux de la rampe. Elle accepte les invitations quand elle en a envie. Elle peint, elle lit, elle médite. Parfois, elle chante encore seule ou avec Albano pour aviver un souvenir commun, pour faire plaisir aux fans ou simplement parce qu’elle en a envie. Mais elle ne court plus après rien. Elle est cette femme qui a vu le sommet, connue le vide et qui avance désormais en équilibre.

 Sa beauté est restée intacte, différente, marquée mais lumineuse. À plus de 70 ans, elle incarne une forme rare de grâce. Pas celle qui ne vieillit pas, mais celle qui assume. Elle a dit un jour dans une interview : “Je ne regrette rien, mais j’aurais aimé savoir ce que je sais aujourd’hui quand j’avais vingt ans.

” Cette phrase à elle seule résume une vie. Romina Power n’est pas seulement l’ex-femme d’Albano. Elle n’est pas seulement la mère d’Ilenia. Elle est une artiste, une survivante, une femme qui n’a jamais cessé de chercher un sens au-delà des apparences. Elle a connu l’amour fusionnel, la maternité, la gloire, la perte, l’exil, le silence et le pardon.

 Elle est tout cela à la fois. Et c’est peut-être pour ça que son histoire nous touche autant. car au fond, elle est comme beaucoup de femmes, fragile et forte, blessée et debout, silencieuse et lumineuse. Et si ces chansons ont marqué des générations, c’est peut-être parce qu’elle contenait en filigrane vérité d’une vie qui ne fut jamais facile mais toujours sincère.

Merci d’avoir suivi ce récit jusqu’au bout. Si cette histoire vous a aimu, si vous avez redécouvert Romina Power sous un autre jour, n’oubliez pas de liker la vidéo et de nous dire en commentaire ce que vous retenez de cette incroyable trajectoire. À très bientôt.

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *