Il allé chez le boucher tout le temps prendre des trucs. On savait. Mesdames, messieurs, et si le mariage de Laur Asmet, longtemps présenté comme discret et serein, n’était en réalité qu’un cauchemar soigneusement dissimulé. Depuis plusieurs semaines, une vidéo bouleversante a fait surface où la fille de Johnny Halid évoque une vie conjugale marquée par la jalousie, les trahisons et un isolement destructeur.
On y découvre une femme brisée enfermée dans une spirale de contrôle et de souffrance silencieuse. Ce témoignage a déclenché une onde choc relançant l’intérêt autour d’une actrice à la fois adorée et tourmentée. Comment la fille d’un monument du rock français a-t-elle pu se retrouver piégée dans une telle impasse intime ? Que reste est-il aujourd’hui de la légende familiale à l’idée ? Ce récit est celui d’une femme, d’un combat et d’un héritage impossible à porter.
Laura Je An Jeanne-Marie Smth na né le 15 novembre 1983 à Neil sur scène, fruit de l’union entre deux géants du spectacle français. Johnny Alid, l’icône absolue du rock hexagonal et Nathalie Bay, comédienne saluée par la critique. Dès sa naissance, Laura est sous le feu des projecteurs, élevé dans un univers où la lumière publique ne s’éteint jamais.
Pourtant, son enfance est loin d’être une idyle. Ses parents se séparent alors qu’elle n’a que deux ans et leur grandit dans une forme de déchirure entre les exigences d’une mère protectrice et l’absence d’un père, souvent happé par la scène. À l’adolescence, elle envisage un temps de devenir religieuse avant de se tourner vers le cinéma.
En 2003, à 20 ans, elle fait ses débuts fracassants dans les corps impatients de Xavier Dianeli. Son interprétation d’une jeune femme atteinte d’un cancer bouleverse la critique. Elle reçoit le prix Romy Schneeder en 2004 et s’impose comme une actrice à suivre au-delà de son nom célèbre. Claude Chabrol lui offre ensuite un rôle marquant dans la demoiselle d’honneur 2004 où elle confirme sa capacité à incarner des personnages tourmentés, sombres, à contre-courant des jeunes premières.
Au fil des années, Laurasmet enchaîne les rôles au cinéma dans des productions comme la Frontière de l’aube, Pauline et François ou encore Yve Saint-Laurent où elle apparaît dans un registre plus sophistiqué. Elle collabore avec des réalisateurs reconnus tout en se tenant à l’écart du star système.
Contrairement à son père, Laura refuse l’exubérance et les flashes. Elle préfère les roules en demi-teintes, le théâtre d’auteur, les silences habités. Cette discrétion lui vaut l’estime d’un certain public, mais la maintient aussi dans une sphère d’ombre relative, loin du vétaria massif. En parallèle, Laura tente quelques incursions dans la musique, notamment à travers des hommages à son père.
En 2018, elle participe à l’album postume de Johnny Alid et chante au côté de David Alid. L’héritage artistique pèse lourd, mais elle tente de s’y inscrire avec pudeur. Son image publique reste celle d’une artiste sérieuse, souvent mélancolique, marqué par les blessures familiales. Dans ces interviews, elle évoque sans détour ses troubles anxieux, son besoin de thérapie et sa difficulté à exister pleinement dans l’ombre d’un monument national.
En 2019, Laurasmet épouse Raphaël Lancré Javal, un homme d’affaires parisien. Ensemble, ils accueillent un fils, Léo, en octobre 2020. Pour beaucoup, ce mariage marque une forme d’apaisement, une étape vers une vie plus stable, loin des tumultes passés. Mais l’équilibre est fragile. Laura continue à se battre contre l’anxiété, trouve refuge dans l’art, écrit, peint, compose.
Elle tourne moins, choisit ses rôles avec parsimonie et s’éloigne peu à peu de l’agitation médiatique. L’actrice incarne aujourd’hui une figure ambivalente, celle d’une femme forte et brisée, héritière d’un nom trop grand et toujours en quête d’un espace à elle. À travers ses choix de vie et de carrière, leur smet semble affirmer une chose : elle n’est ni Nathalie Bay ni Johnny Aliday, elle est Laura et ce simple fait dans son cas représente déjà une conquête.
En 2017, la vie de Laura bascule brutalement avec le décès de son père, Johnny Alidé. Le recur s’éteint à Marne la coquette dans la nuit du 5 au 6 décembre des suite d’un cancer du poumon. Mais au-delà du deuil, c’est un véritable séisme familial et médiatique qui s’enclenche. Quelques semaines après l’enterrement, le testament de Johnny, rédigé en Californie exclut ses deux enfants biologiques, Laura et David de toutes parts d’héritage.
La totalité de son patrimoine est attribuée à son épouse, Laiticia Alid. Une décision que Laura découvre dans la presse sans aucun avertissement préalable. Le choc est immense. Avec son demi-frère David Hidayet, Laura décide alors d’engager une procédure judiciaire pour contester le testament. Leur argument ? Le droit français interdit de déshériter ses enfants.
Cette bataille judiciaire est allée sur plus de 2 ans, divise la France, fracture les fans de Johnny et transforme Laura contre son gré en héroïne d’un drame juridique hors norme. Pendant cette période, elle subit une pression médiatique énorme tandis que ses prises de parole, rares mais tranchantes, révèlent une détermination farouche à défendre la mémoire et les droits de son père.
Mais derrière les projecteurs du procès se cache une fragilité grandissante. L’ura a vous traverser une période d’angoisse intense marqué par l’incompréhension et la trahison. Elle perd du poids, cesse plusieurs projets et évoque dans une lettre ouverte un sentiment d’exclusion insupportable. Ce conflit, elle le mène au nom de l’amour filial, mais aussi pour sa propre dignité.
En 2020, un accord est finalement trouvé entre les deux parties. Laura obtient une part du patrimoine de son père. et choisit alors de se retirer de la scène judiciaire et médiatique. Mais cette victoire partielle ne suffit pas à effacer les blessures. Elle s’éloigne encore davantage de la lumière, se consacre à son fils, à son mari et à sa santé mentale.
C’est dans ce contexte d’après qu’émerge un nouveau scandale, bien plus intime et encore plus inendu. Fin 2024, une vidéo surgit sur YouTube reprise ensuite sur Instagram et TikTok. On y voit Laura Smet, visiblement émotive, confié devant la caméra l’envers de son mariage. Dans un ton calme mais lourd de tension, elle évoque un quotidien fait de méfiance, de contrôle et d’infidélité répétée.
Son époux, Raphaël l’ancré Javal y est décrit comme un homme jaloux, dominateur qui aurait isolé l’ura de ses proches au fil des années. Elle parle de souffrance psychique, de nuit sans sommeil, de sentiments d’étouffement. Les mots qu’elle emploie sont puissants. J’ai cru que j’avais trouvé une épaule. En réalité, j’ai trouvé une prison.
Cette confession filmé dans un décor sobre bouleverse les internautes. Le contraste est total entre l’image publique du couple, souvent montré comme discret et harmonieux, et cette réalité évoquée avec une sincérité troublante. Très vite, les médiens s’emparent du sujet. Les émissions de plateau analysent la vidéo en boucle.
Les anciens proches du couple livrent des témoignages contradictoires et les fans de Johnny Alid s’interrogent. Comment une telle tragédie familiale a-t-elle pu se reproduire ? Laura, la fille Bafoué, serait-elle devenue l’épouse maltraitée ? Lorsque l’on parle de Lauramet, il est impossible de dissocier son nom de la question du patrimoine tant dimension à fionner son image publique.
Fille de Johny Alid et de Nathalie Bay, elle n’a pas seulement hérité d’un nom mais aussi d’une histoire juridique et médiatique hors norme. En décembre 2017, après la mort de Johnny à Marne la coquette, le testament rédigé en Californie bouleverse l’équilibre familial. Laura et son demi-frère David Alidet découvrent que la totalité du patrimoine, droit d’auteur, biens immobilier, voiture de collection, contrat discographique est légué à Latitia Alidet.
Ce choix heurte de plein fois le droit français qui protège la réserve héréditaire des enfants. Très vite, Laura saisit la justice française et dépose un recours pour contester la validité du testament. La bataille entamée en 2018 se déroule devant les tribunaux de Nanterre et alimente les unes des magazines pendant des mois. Dans cette affaire, les enjeux financiers sont considérables.
Le patrimoine de Johnny est estimé entre 30 et 40 millions d’euros sans compter les royalties sur un catalogue musical mythique. Les droits d’auteur gérés par Warner et Universal représentent à eux seuls des sommes colossales sur plusieurs décennies. Les biens immobiliers, villa de Marne la cocate, maison de Saint-Bartelémi, range californien deviennent symbole d’une querelle familiale planétaire.
Pour Laura, il ne s’agit pas seulement d’argent mais d’une reconnaissance symbolique. Elle répète dans ses communiqués que son combat vise à faire respecter la mémoire de mon père et préserver ce qui revient légitimement à ses enfants. En juillet 2020, un accord est trouvé. Latitia renonce à contester la compétence des tribunaux français et accepte de régler une partie des dettes fiscales de la succession.
Laura obtient des droits sur certaines œuvres de Johnny ainsi qu’une compensation financière dont le montant exact reste confidentiel mais que la presse estime à plusieurs millions d’euros. Elle choisit alors de se retirer de la procédure et publie un message sobre sur Instagram. La page se tourne. Cette conclusion partielle met fin à un feuilleton juridique de plus de 2 ans mais laisse des cicatrices profondes.
En parallèle, Laura construit son propre patrimoine. Elle investit dans une résidence en région parisienne et dans une maison de vacances dans le sud-ouest où elle vit souvent avec son fils Léo. Ses revenus proviennent désormais de ses rôles au cinéma, de ses apparitions théâtrales et des royalties liées au projet artistiques de son père auquel elle participe.
Contrairement à certains héritiers célèbres, elle ne multiplie pas les produits dérivés et préfère la discrétion. Ces contrats publicitaires sont rares, choisi avec soin afin de ne pas brouiller son image d’actrice. Le patrimoine de Laura est donc double. matériel vient éliminer les droits d’auteur qu’elle a récupéré après l’accord de 2020 et immatériel par le poids d’un nom qui ouvre des portes mais impose aussi une charge émotionnelle lourde.
Cette ambivalence se retrouve dans chacune de ces décisions. Elle vend rarement, conserve beaucoup et tient à transmettre à son fils Léo non seulement un héritage financier, mais aussi une histoire familiale moins fragmentée. Dans le sillage du scandale conjugal de 2024, cette dimension patrimoniale prend un nouvel écho.
Les fans s’interrogent comment protèera-t-elle les biens acquis, son image et celle de son fils dans un contexte aussi instable. Laura, prudente ne s’exprime plus sur le sujet. Ses avocats gèrent ses contrats et ses actifs tandis qu’elle se concentre sur sa vie privée. Aujourd’hui, son patrimoine net reste difficile à chiffrer avec précision, mais les estimations aussi entre 5 et 7 millions d’euros essentiellement issus des droits liés à Johnny et de ses propres cachets.
Une somme modeste comparée à l’empire paternel mais suffisante pour garantir son indépendance. Pour elle, c’est là le véritable enjeu. Transformer un héritage conflictuel en une base stable, transmissible et choisie. C’est une séquence filmée sans mise en scène, sans maquillage, sans musique. Laurasmet apparaît assise sur un canapé gris, le visage nu, les traits tirés.
Dans cette vidéo de quelques minutes publiée à l’origine sur une chaîne YouTube indépendante, elle livre un témoignage direct glaçant sur ce qu’elle appelle l’enfer domestique qu’elle aurait vécu pendant son mariage. Sa voix est posée mais chaque mot porte une douleur sourde. Elle parle de nuit sans sommeil, d’angoisse récurrente, de la peur d’être surveillée, de la sensation de devenir étrangère à elle-même.
Elle évoque l’érosion lente de sa confiance. Les regards soupçonneux, les silences pesants. À aucun moment, elle ne cite directement le nom de Rafale l’encré Javal. Mais tout le monde comprend. La vidéo, d’abord marginale devient virale en moins de 72 he partagé massivement sur X, TikTok, Instagram et relayé par plusieurs cons spécialisés dans les confidences de célébrité, elle déclenche une onde choc.
Les internautes commentent avec émotion, colère ou incrédulité. De nombreux fanses de Johnny Alid se rangent immédiatement du côté de Laura, bouleversé par ce qu’ils perçoivent comme une nouvelle trahison dans la vie d’une femme déjà marqué par tant de perte. L’entourage de Laura reste silencieux. Aucun communiqué officiel ne vient nuancer ou confirmer ses paroles.
Pas d’intervention d’avocat. Mais certains proches souscouvert d’anonymatent à des médias comme Gala et Closer que Laura a tenu bon pendant des années et que cette vidéo est un cri de survie. Elle ne cherche pas la polémique, elle cherche à se libérer. Dans les jours qui suivent, Laura disparaît des radars. Plus aucun poste sur ses réseaux sociaux, aucune apparition publique.
Les paparadis la traquent en vain. On murmure qu’elle se serait réfugiée dans une maison isolée près de Biaritz avec son fils. Un cliché flou publié par un magazine people montre une silhouette de femme en manteau noir tenant un enfant par la main marchant dans le vent. Aucun regard à la caméra. La dernière image connue de Laurasmet reste donc cette vidéo frontale dépouillé sans artifice.
Un moment suspendu, brut, intime qui raisonne comme une cassure définitive et qui peut-être marquera le début d’un nouveau chapitre encore invisible. Dans l’opinion publique française, leur Asmet est désormais perçu comme bien plus qu’une fille d’eux. Elle est l’incarnation d’une lutte pour l’intégrité et la dignité face aux tempêtes médiatiques et familiales.
De l’héritage contesté de Johnny Alid à la confession filmée sur son mariage, son parcours trace la silhouette d’une femme qui refuse le silence et l’injustice. L’héritage qu’elle porte n’est donc pas seulement financier, il est symbolique, fait d’amour filial, de mémoire artistique et de blessures partagées. Aujourd’hui, Laura vit retirée de Paris, concentrée sur son fils et ses projets créatifs.
Elle possède des droits sur une partie du catalogue de Johnny, quelques biens immobiliers et surtout une notoriété qui, malgré la douleur, peut devenir un levier pour défendre des causes qui lui tiennent à cœur. Son héritage réel tient aussi dans la solidarité des fans qui voit en elle la gardienne d’un nom légendaire, mais également une femme qui ose témoigner de sa vulnérabilité.
Cette double dimension héritière et combattante confère à son histoire une portée universelle. À travers l’EURASM, c’est la question du poids des lignées, de la résilience et de la liberté individuelle qui se joue encore sous nos yeux.